16 Mai 2015
Le président de la République du Bénin, Son Excellence Yayi Boni, a rejoint le cercle restreint des chefs d’État célibataires. A l’image du Français François Hollande, éternel célibataire invétéré. Mais pas pour les mêmes raisons. Visez la suite.
Si le président Yayi Boni a fini de rejoindre le cercle des célèbres célibataires de la planète, c’est pour des raisons qui ne l’honorent pas. En effet, Boni Yayi, sans doute dépassé par la gestion des affaires de son pays, a cherché à décompresser… dans les bras d’une fille. Mais pas de n’importe quelle femme.
Et que pensez-vous que fit la première dame ? Chantal Boni, dépassée par les évènements, a tout bonnement demandé divorce, selon des sources béninoises. Elle vit depuis quelques jours dans sa résidence secondaire sise dans la zone de l’aéroport de Cotonou. Mais selon des sources concordantes, le tribunal ne s’est pas encore prononcé sur ce divorce.
Un scandale peut en cacher un autre
Décidément, au sommet de l’État béninois, on a la braguette facile. Suivant sans doute l’exemple du boss, le ministre d’État chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, beau-frère officieux du chef de l’État a, à son tour, enceinté sa secrétaire (très) particulière. Tandis que son directeur de cabinet est enceintée par son attaché de service. Des scandales en série au Bénin.
Cette fois-ci, le président Yayi Boni ne versera pas des larmes de crocodile devant sa femme légitime, comme il l’avait fait à la marche des républicains pour Charlie à Paris.
Mais comme courte queue se paie par courte queue, nous apprenons aussi que le ministre de l’Économie, des Finances et des Programmes de Dénationalisation (MEFPD) est devenu, il y a peu, le beau-fils du président de la République. Komi Koutché, le bien nommé, a ainsi enceinté Solange Yayi, fille du président Boni.
Sacré gouvernement béninois !