Blocage de la Tfm : Le groupe Futurs Médias au bord de la faillite - Afrique Rédaction, actualité africaine, actualité africaine à la minute, actualité africaine de la semaine, actualité africaine du mois, actualité africaine à la une, actu, Afrique Maghreb, Afrique de l'Ouest, Afrique du Nord, Afrique de l'Est, Afrique centrale, Afrique subsaharienne, journal en ligne, information sur l'Afrique, actualité de la RDC, actualité de Kinshasa, actualité du congo, actualité musicale, actualité politique, la francophonie, Sports, Insolites, Musique, Culture, Afrique, Monde, France, Moyen Orient, Justice, Littérature, USA, Asie, Europe, Continent RSS, Faits Divers, Politique, Economie, Sociale, Société, Femmes, Santé, Diaspora, religions, Emplois

AFRIQUE REDACTION | DIMANCHE 13-12-2009 | 09H55

L’acquisition de la télévision Tfm qui,  tarde de démarrer, plombe les charges déjà engagées et hypothèque dangereusement la survie du groupe Futurs Médias qui va vers une banque route, a précisé dans un communiqué la section Synpics du groupe de presse de Youssou Ndour.

La télévision de Youssou Ndour qui tarde à émettre inquiète les travailleurs du groupe Futurs Médias. D’ailleurs la section du Syndicat des Professionnels de l’Information et de la Communication du Sénégal (SYNPICS) de ce groupe de presse a statué, au cours de sa réunion ordinaire du jeudi 10 décembre 2009, sur cette question et c’est pour lancer un cri de détresse. « La section manifeste toute son inquiétude quant à une éventuelle banqueroute du Groupe Futurs Médias. D’autant plus que le promoteur du groupe a largement investi une somme considérable pour l’acquisition de cette télévision qui, en tardant de démarrer, plombe les charges déjà engagées et hypothèque dangereusement la survie du groupe Futurs Médias », ont indiqué Babacar Fall et ses camarades dans un communiqué reçu à la rédaction.

 Et pour les employés de Youssou Ndour, « l’éventualité d’une banqueroute induirait, à coup sûr,  la perte de près d’une centaine d’emplois de professionnels de l’information et de la communication ».

 Aussi, la section en appelle à une plus grande responsabilité de l’Etat face à cette affaire. La section reste mobilisée pour la défense sans état d’âme de l’outil de travail de concert avec le SYNPICS national et tous les défenseurs des travailleurs. La section SYNPICS du Groupe Futurs Médias, de concert avec le Bureau national exécutif (BEN) du SYNPICS, exhorte au respect de la loi en matière d’octroi des fréquences radio et télé.