Afrique Rédaction

Actualité africaine et internationale en continu ! Afrique du Nord, Afrique de l'Est, Afrique de l'Ouest, Afrique Centrale et Afrique Australe en continu avec des nouvelles fraiches.Des brèves et des tweets...Actualité sur Facebook en direct avec des news fraiches

Des magistrats s’imposent une ligne de conduite

Crée le 01-02-2012-   19h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le mercredi 01-01-2012 - 19H00  AFRIQUE REDACTION PAR :CONGO NEWS

 



Durant cette année, des magistrats civils comme militaires se fixent une ligne à suivre. Ils l’ont dit la semaine passée, au cours d’une cérémonie d’échanges des voeux, organisée au cercle ONATRA, dans la commune de la Gombe. Plusieurs préoccupations n’ont pas été atteintes au cours de l’année passée notamment la problématique des véhicules des magistrats et des mouvements d’arrêt de travail. Ce discours qui n’est ‘pas tombé dans les oreilles des sourds.
Le président du Conseil Supérieur de la Magistrature qui fait office du premier président de la Cour Suprême de Justice, Jérôme Kitoko Kipela, a tout d’abord reconnu que l’année 2011 était une année rude pour l’appareil judiciaire r-dcongolais. Il a promis que cette nouvelle année sera une année moins rigoureuse. Le premier des magistrats, a indiqué à ses pairs qu’il prenait à coeur toutes leurs revendications surtout celles liées à l’amélioration des conditions des magistrats. Ceux-ci travaillent dans des conditions difficiles. Les magistrats ont aussi promis devant le Procureur Général de la République, qu’ils vont faire de la lutte contre la corruption et l’impunité leur cheval de bataille. Tous presque à l’unanimité ont promis au premier des magistrats et au Procureur Général de la République de renoncer aux mauvaises habitudes pour redorer l’image d’une magistrature longtemps ternie. Les réclamations des magistrats qui avaient fait l’objet des cogitations lors de la rentrée judicaire 2011-212 doivent être prises en compte. Le premier président de la Cour Suprême de Justice est resté persuadé que la haute hiérarchie qui a pris acte de toutes les revendications des magistrats en mains ne va pas tarder à réagir.
                                                                                                   ERIC MASIMO

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article