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Insécurité postélectorale à Kinshasa - Des hommes cagoulés violent et pillent chez Mme Anunga Marcelline

Crée le 14-01-2012- 11h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 14-01-2012    19H00AFRIQUE REDACTION PAR : LA REFERENCE PLUS 



La campagne électorale et les scrutins présidentiel et législatif du 28 novembre 2011 avec leur sont passés mais leur cortége de malheurs semble encore loin de terminer. Après les dénonciations faites par Human Rights Watch, la Voix des Sans Voix et bien d’autres organisations non gouvernementales de défense des droits de l’homme, c’est l’Union pour la Démocratie et la Progrès Social qui ne manque pas de compter les arrestations, les violations, les enlèvements et les disparitions constatés dans les rangs de ses militants. Pour protester contre cette vague de violations des droits de l’homme, le parti cher à Etienne Tshisekedi a adressé une correspondance à la Monusco et à l’ONU afin de sécuriser les populations civiles.
Dans la foulée de ceux qui peinent à retrouver les leurs et font l’objet des menaces de mort se trouvent Madame Anunga Marcelline dont le mari Elando Jules demeure introuvable. Selon des sources proches de l’UDPS, ce dernier a été enlevé par des inconnus depuis le 09 décembre 2012 à 20 heures à la 9ème Rue Limete, après la publication des résultats définitifs de l’élection présidentielle par la Cour suprême de justice.
Le même jour son épouse témoigne avoir été visitée vers 3 heures du matin par des hommes cagoulés du matin. Non seulement qu’ils l’ont menacée de mort, ses bourreaux l’ont aussi frappée et violé sa fille Omba Miriam avant de dépouiller la maison de tous les biens de valeur.
Quant au motif de leur forfait, les bandits ont accusé madame Anunga\ Marcelline de soutenir Etienne Tshisekedi elle et son mari. Un acte d’intolérance qui ne peut pas en principe être commis dans un pays qui amorce son second virage démocratique.
Pris de peur, Madame Anunga e abandonné son toit conjugal pour trouver refuge chez ses frères dans la commune de Kinsenso. En attendant, elle lance un appel de pied à tout ce lui qui pourrait avoir une nouvelle sur son mari pour lui tenir informée par voix de presse ou du bureau communal de Kinsenso.
                                                                                                              D.Kad.

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