Justice - Couleurs Télévision et les policiers de l'ex-Onatra devant les juges - Afrique Rédaction, actualité africaine, actualité africaine à la minute, actualité africaine de la semaine, actualité africaine du mois, actualité africaine à la une, actu, Afrique Maghreb, Afrique de l'Ouest, Afrique du Nord, Afrique de l'Est, Afrique centrale, Afrique subsaharienne, journal en ligne, information sur l'Afrique, actualité de la RDC, actualité de Kinshasa, actualité du congo, actualité musicale, actualité politique, la francophonie, Sports, Insolites, Musique, Culture, Afrique, Monde, France, Moyen Orient, Justice, Littérature, USA, Asie, Europe, Continent RSS, Faits Divers, Politique, Economie, Sociale, Société, Femmes, Santé, Diaspora, religions, Emplois

Créé le 10-10-2011 à 08 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le lundi  10-10-2011 à18h25 | AFRIQUE REDACTION PAR : LES DEPECHES DE BRAZZAVILLE

Les deux parties sont appelées à comparaître aujourd'hui à Kinshasa, au tribunal de paix (Tripaix) d'Assossa, dans la commune de Kasa-Vubu.
L'affaire qui oppose Couleurs télévisions à la Société commerciale des transports et des ports (SCTP), ex-Office national de transport (Onatra), date de janvier dernier. Elle a été portée au Tripaix, situé au croisement des avenues Assossa et Forces publiques, dans la commune de Kasa-Vubu.

Couleurs télévision (CT), émettant de Kinshasa, a traduit en justice les policiers de la SCTP pour coups et blessures, destruction méchante de son matériel et enlèvement d'une de ses journalistes, Feza Mandiangu, et de son caméraman, Rolly Newezi Kalambayi, alors qu'ils couvraient, le 21 janvier, une réunion syndicale de cette entreprise. Les éléments de sécurité de la SCTP avaient tenté de disperser les participants à cette rencontre, avant de s'en prendre aux journalistes qui se trouvaient sur le lieu.

Les deux agents de Couleurs Télévisions, n'ayant pas réussi à quitter le chantier naval de cette entreprise à temps, avaient été roués de coups avant d'être détenus au Bureau central d'investigations de la SCTP. Le caméraman Rolly Nawezi s'en était sorti avec une blessure au genou alors que sa caméra a été fortement endommagée.

Après l'intervention de la police nationale sur le lieu, les deux journalistes avaient été conduits au parquet de grande instance de Kinshasa-Gombe, où ils avaient été soumis à un interrogatoire par un magistrat.

Lucien Dianzenza

Photo : La Direction générale de la SCPT