L'éradication de la faim dans le monde doit-elle être une priorité pour nos dirigeants? - Afrique Rédaction, actualité africaine, actualité africaine à la minute, actualité africaine de la semaine, actualité africaine du mois, actualité africaine à la une, actu, Afrique Maghreb, Afrique de l'Ouest, Afrique du Nord, Afrique de l'Est, Afrique centrale, Afrique subsaharienne, journal en ligne, information sur l'Afrique, actualité de la RDC, actualité de Kinshasa, actualité du congo, actualité musicale, actualité politique, la francophonie, Sports, Insolites, Musique, Culture, Afrique, Monde, France, Moyen Orient, Justice, Littérature, USA, Asie, Europe, Continent RSS, Faits Divers, Politique, Economie, Sociale, Société, Femmes, Santé, Diaspora, religions, Emplois

En Afrique subsaharienne, 265 millions de personnes ne mangent pasà leur faim./

Les dirigeants du G8 ne se pressent pas au sommet de la FAO, l'organisation des Nations Unies pour l'agriculture et l'alimentation qui se penche sur le problème de la faim dans le monde. Sous les articles consacrés à ce sujet, vous avez laissé nombre de commentaires. «Egoïsme et indifférence, voilà ce qu'est devenu le monde et il crèvera de ça», écrit Tumi. Et Daniel
 
«C'est une vrai honte, lance Didiggy27 à propos de l’absence des chefs d’état. La faim dans le monde et surtout dans le tiers monde c'est loin et ils s'en foutent royalement! Ça ne rapporte rien et ça coûte cher...» Otok tone, lui, s'exprime ainsi: «Premièrement, il n'y a pas de concertation mondiale, et c'est normal, nous sommes régis par la règle du chacun pour soi. Les interventions d'assistance ne visent donc qu'à trouver soit des sources de matières premières soit des marchés (armement en particulier). Deuxièmement, le problème de notre époque c'est la surpopulation.

On peut réguler par les guerres, la faim ou les maladies, mais il serait plus humain de prendre le problème à la source en limitant l'accroissement de la population. Sans cela les problèmes ne pourrons que s'aggraver.» Et Cobralito d'ajouter, « On parle de la faim dans le monde, de pollution, de réchauffement climatique, de surconsommation, de pauvreté, de richesse... Quand les pouvoirs en place se mettront-ils autour d'une table, pour parler des problèmes liés à la surpopulation? On est trop nombreux sur cette planète, on l'étouffe, il y a de plus en plus de déserts, de moins en moins d'eau, du fait de l'activité économique et industrielle à outrance. J'aimerais que ce sujet soit un jour abordé. Moins de monde sur terre, mais des gens plus heureux, et une planète qui respire...»
 
Grendizer, lui, pense ceci: «Ils ont des gouvernements ces pays-là non? C'est pas à l'Occident de les sauver. Quand ça ne va pas dans un pays, on fait la révolution et on vire le président qui lui s'engraisse toujours avec sa famille.»
 
Et vous, qu'en pensez-vous? La question de la faim dans le monde doit-elle être une priorité pour nos dirigeants? Ou ont-ils d’autres problèmes à régler plus urgents? Continuez à nous le dire ci-dessous dans les commentaires... d'ajouter: «La faim dans le monde ne nous empêchera pas dormir, car depuis que les pays riches restent riches et que les pays émergeant deviennent à leur tour riches, les pays riches oublient encore d'avantage les malheurs de ces pauvres gens qui ont faim.»

Paul Ackermann