Actualité Kinshasa : un atelier pour la prise en compte des besoins des femmes par le Parlement - Afrique Rédaction, actualité africaine, actualité africaine à la minute, actualité africaine de la semaine, actualité africaine du mois, actualité africaine à la une, actu, Afrique Maghreb, Afrique de l'Ouest, Afrique du Nord, Afrique de l'Est, Afrique centrale, Afrique subsaharienne, journal en ligne, information sur l'Afrique, actualité de la RDC, actualité de Kinshasa, actualité du congo, actualité musicale, actualité politique, la francophonie, Sports, Insolites, Musique, Culture, Afrique, Monde, France, Moyen Orient, Justice, Littérature, USA, Asie, Europe, Continent RSS, Faits Divers, Politique, Economie, Sociale, Société, Femmes, Santé, Diaspora, religions, Emplois

Crée LE 15-08-2014  - 10H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 15-08-2014 - 12H40 PAR : RADIO OKAPI

                                                                    

L’Institut républicain international (IRI), en collaboration avec le National democratic institute (NDI), organise à Kinshasa un atelier de restitution des travaux des femmes parlementaires. Ouvert jeudi 14 août, cet atelier est destiné aux femmes de la société civile et des réseaux des femmes politiques. L’objectif est, non seulement, de faire inscrire les lois qui prennent en compte les réels besoins des femmes au calendrier des sessions parlementaires, mais aussi de pousser les parlementaires hommes à adopter de telles lois.

 Selon Madame Zouzou Buzune, facilitatrice à IRI, le travail des femmes parlementaires doit être soutenu par d’autres femmes leaders au sein de la société.

«Le travail qu’elles font doit être porté par d’autres femmes leader au sein des partis politiques et des organisations de la société civile pour leur permettre de trouver des solutions aux problèmes spécifiques qui se posent en rapport avec les besoins réels de la femmes», a-t-elle expliqué.

L’oratrice du jour, la députée nationale Eve Bazaïba, a reconnu que la production des femmes parlementaires reste faible jusque-là. Elle recommande notamment de renforcer les capacités de ces femmes à pouvoir légiférer.

Mme Bazaïba a aussi épinglé l’importance d’une collaboration avec la société civile qui est régulièrement sur terrain.

«La société civile peut commencer avec des avant-propositions, et pouvoir identifier les matières nécessitant une législation», a-t-elle affirmé.

Cet atelier devrait également proposer des stratégies pour surmonter les difficultés que rencontrent les femmes parlementaires dans leur mission.