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JUSTICE - Emplois fictifs à la mairie de Paris: Chirac «mis en examen»

 
 

AFRIQUE REDACTION | JUSTICE | FRANCE | VENDREDI 18-12-2009 | 11H55

 

chirac.jpgAprès son renvoi en correctionnelle par la juge Xavière Siméoni en octobre dernier, c'est dans le cadre d'un autre volet du dossier des emplois fictifs à la mairie de Paris que Jacques Chirac vient d'être mis en examen par le juge de Nanterre, Jacques Gazeaux.

L'ancien a été «mis en examen» vendredi dans l'affaire des emplois fictifs à la mairie de par le juge Jacques Gazeaux. Il a «réaffirmé qu'aucun système» n'avait «jamais existé», a rapporté son entourage dans un communiqué.

 
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L'entretien a eu lieu vendredi matin dans les locaux du médiateur de la République, à Paris, «un lieu totalement neutre», a expliqué l'avocat de Jacques Chirac, Me Jean Veil.

«L'entretien a duré vingt minutes, le juge ne lui a posé aucune question», a-t-il souligné, en ajoutant que M. Chirac avait été mis en examen pour «prise illégale d'intérêt concernant sept emplois».

Dans cette affaire, il s'agit du paiement présumé de salaires par la mairie de Paris à des permanents du RPR, le parti de M. Chirac.

Dans son communiqué, le bureau de Jacques Chirac souligne que ce dernier «rappelle qu'il avait déjà répondu, en juillet 2007, à l'ensemble des questions relatives à ce dossier portant sur 7 emplois, et qu'aucun élément nouveau n'est intervenu depuis lors».

«Sur le fond, le président Chirac réaffirme qu'aucun système n'a jamais existé à la mairie de Paris. Il est déterminé à le faire reconnaître au terme de la procédure ouverte par la mise en examen dont il a fait l'objet ce jour».

«Sur ce dossier comme dans son autre volet, instruit à Paris, le président Chirac souhaite que la procédure puisse avancer dans les meilleurs délais, afin que soit définitivement établi que rien ne saurait lui être reproché», conclut le communiqué.

M. Chirac, déjà renvoyé en correctionnelle à Paris dans l'affaire des présumés emplois fictifs à la mairie de Paris (affaire dite des chargés de mission, ndlr), avait déjà été entendu sous le statut de témoin assisté en 2007 dans ce dossier concernant des permanents du RPR.

le Parisien

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