Lubero : Le torchon brûle entre retournés Hutu-Rwandais et Autochtones - Afrique Rédaction, actualité africaine, actualité africaine à la minute, actualité africaine de la semaine, actualité africaine du mois, actualité africaine à la une, actu, Afrique Maghreb, Afrique de l'Ouest, Afrique du Nord, Afrique de l'Est, Afrique centrale, Afrique subsaharienne, journal en ligne, information sur l'Afrique, actualité de la RDC, actualité de Kinshasa, actualité du congo, actualité musicale, actualité politique, la francophonie, Sports, Insolites, Musique, Culture, Afrique, Monde, France, Moyen Orient, Justice, Littérature, USA, Asie, Europe, Continent RSS, Faits Divers, Politique, Economie, Sociale, Société, Femmes, Santé, Diaspora, religions, Emplois

Crée le 23-03-2014  - 05H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ETINTERNATIONALE .  Mis à jour dimanche le  23-03-2014 - 05H00 PAR : BENI LUBERO

Une centaine des retournés Hutu-Rwandais qui ont élu domicile au sud du territoire dans le Grand Nord-Kivu commettent des multiples cas des exactions au peuple autochtone. Ils ravissent les champs dont ils se réclament propriétaires. Les membres de la communauté Yira, autochtone de cette partie Est de la RDC sont chassés dans leur propre champ par ces en vahisseurs du pays  .

 

Menace d'un déclenchement d'une guerre interethnique au sein de la population de Miriki au sud du territoire de Lubero. Les retournés hutu et les populations autochtones se regardent en chien et chat. L'affaire tourne autour de la dévastation des champs, le vol des aliments et l'appropriation des terres. Les habitants de ce coin de la province du Nord-Kivu tirent la sonnette d'alarme. Selon un des leaders, si rien n'est fait, les deux parties vont s'affronter dans un bref délai. Les victimes de cette agression imposé par le Rwanda en appelle à l'implication immédiate des autorités politico-administratives pour faire baissée la tension.

Un muni-Bus tombe entre les mains des coupeurs de route

Par ailleurs, un cas de pillage a été signalé le jeudi 20 mars sur la Nationale numéro 4 à quelques kilomètres de la cité de Kanyabayonga. Il s'agit des hommes armés qui ont tendu une embuscade à deux bus qui voyageaient de Goma pour Butembo. Selon les victimes, plus de dix bandits dont certains étaient munis d'armes à feu sont venus de part et d'autre de la route pour arrêter les véhicules. Ils ont ordonné aux passagers de sortir des véhicules avant de les dépouiller. Argent, téléphones portables et beaucoup d'autres biens ont été emportés. Après l'opération, ces coupeurs de route ont pris une direction inconnue. Informés de la situation, les militaires FARDC sont intervenus et ont réussi à récupérer certains biens. Ces derniers ont été amenés au sous commissariat de la police nationale congolaise de Kanyabayonga.

Correspondance particulière de Eve Masimengo

depuis Lubero