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6 Février 2014
ROLAIN MENA
Faire allusion a un passé travesti (le mien)que tu soulignes d'ailleurs sans mettre la parenthèse, nous ramène à un mensonge caractérisé au demeurant, à la contre vérité fabriqué par ses ennemis...Un grand philosophe disait, j'ai deux vies, une qui m'appartient que je connais et l'autre que mes ennemis ont fabriqué pour moi.
Le rapport que je viens de publier Ngbanda ne ni diffamatoire encore moins un tissu de mensonge, plutôt de la pure vérité. Je n'ai pas eu la culture rétrograde d'un vieux croûton qui veut revenir au pouvoir par des moyens qu'on connaît de lui.
Mais cette époque est révolue, comme tu l'a si bien dit, nul n'est dupe. Le fait de le traiter de criminel (sic) ce monsieur, est la résultante d'une accumulation de preuves tangibles contre ce troubadour qui erre dans le sentier du combat patriotique en empochant au passage au nom de ce combat les dividendes sonnantes et trébuchantes sur le dos, bien large de ce combat.
Ngbanda doit être jugé au nom de devoir de mémoire, sinon nous allons encore se retrouver dans les travers du régime de son frère Mobutu qu nous a entraîné dans ce que les congolais vivent aujourd'hui avec la présence des rwandais à la tête de la RDC. Je ne suis pas là à faire le discours dissonant, mais de montrer, des un faits, rien que des faits historiques. Je mettrai bien ce goujat hors ce combat au nom de la morale...
Là où il est dans son monde aquatique doit se résoudre à comprendre que la mafia qu'il a institué comme vertu au sein de son groupe, part en miette en voyant ses ex-brillants cadres quittant ce navire nauséabond truffé de rats et des piranhas...
Tous ceux ont quitté cette secte en témoignent de l'opacité, du désordre de ce groupe sectaire, tribale et rétrograde. En deux ans, tous ceux qui ont déserté cette officine, une machine à fabriquer de la dissension disent sans retenue que c'est une coquille vide sans loi ni foi avec à sa tête un parfait mythomane professionnel agrémenté par son incompétence avérée. Un vieux rêveur, qui pratique le droit de cuissage sur ses ouailles...La preuve se trouve à Montreuil ( croix de chavaux), en offrant à l'une d'elles, un appartement de l'argent volé dans le combat avec en prime un enfant.
Cela étant dit, à chaque fois ce criminel utiliserait la diaspora comme fonds de commerce, je serai là pour lui barrer le chemin. Je suis dans la prélude d'une grande dénonciation de ses pratiques et ses extorsions à répétition au noms de la RDC.
Ma première réplique est mesurée avec des preuves à l'appui (Rapport en anglais que vous trouverez sur Afrique Rédaction) qu'il est l'accusé par une grande Ong Britannique d'avoir torturé et tué des congolais, quand il était aux commandes des affaires au Zaïre...
Rolain Mena tu es la preuve vivant de la chasse à l'homme que tu as été d'une manière cruelle, inhumaine victime de la part de celui que tu considérais comme un mentor, un père, un confident. Ils ont utilisé leur radio de milles colline pour faire cette sale besogne pour te salir, mais tu es là toujours fort. Avaient-ils dit vrai dans leur propos de caniveau ?
Voila les méthodes d'outres tombes qu'ils instaurent dans le combat pour diviser afin de rester maître de ce qu'ils ne maîtrisent plus. Quand quelqu'un n'est pas d'accord avec eux, d’emblée, est considéré comme un traître, un collabo.
Maman Moseka est-elle collabo ? Rolain Mena qui a laissé 10 ans de sa vie dans ce foutoir est-il collabo ? Le Pasteur SHUNGU est-il lui aussi collabo ? Notre jeune qui s'est dévoué corps est âme pour Apareco,Beni qui a quitté avec fracas Apareco est aussi un collabo ? Cher ami tu as si bien dis, personne n'est dupe...
Ngbanda paiera le prix de sa traîtrise contre le peuple congolais en étant en collision avérée avec ceux qui veulent la mort de ce Congo que nous chérissons tant.
La suite de mes répliques, d'ici là et il sera éclaboussé ce petit pervers et manipulateur...
Rolain MENA
Il faut savoir mettre un terme à la division et à la déconsidération !
Question :
Freddy MULONGO (Réveil FM International) : Monsieur Rolain MENA, nous revenons vers vous pour une question d'actualité qui agite de nouveau les combattants sur les réseaux sociaux. Il s'agit du duel entre d'un côté monsieur Honoré NGBANDA et son APARECO et de l'autre mon confrère Roger BONGOS d'Afrique Rédaction. L'APARECO a réagit très violemment aux propos incendiaires de Roger BONGOS à l'encontre de NGBANDA, allant jusqu'à l'accuser ouvertement d'avoir un passé criminel qui ne lui donne aucunement droit de cité dans le combat. Avez-vous suivi cet épisode dans leurs sites internet respectifs et sur les réseaux sociaux ? Si oui, que cela vous inspire t'il, et ne craignez-vous pas que les "kabilistes" en tirent avantage ?
Réponse:
Rolain MENA (c2d) : Oui, j'ai suivi cet épisode comme vous dites et cela m'attriste car Roger BONGOS est un ami et que l'APARECO est mon ancienne famille politique. Ceci dit, je m'insurge totalement contre cette façon de faire ignoble et immonde qui consiste à clouer autrui au pilori et à l'exposer à la vindicte populaire dans le but qu'il soit déconsidéré. Et ce, quel que soit le litige, car cela participe de la division des Congolais et n'est pas digne des responsables politiques que nous prétendons être. D'autant plus que nous sommes censés mener, unis dans la diversité, une lutte commune !
En effet, lorsque j'étais dans cette structure - un passé pas si lointain - je m'étais investi personnellement pour approcher directement monsieur Roger Bongos - dont l'animosité avérée envers monsieur Honoré NGBANDA ne date pas d'aujourd'hui et n'est inconnue de personne - afin de lui demander, avec insistance et détermination, de mettre fin à ses invectives contre le leader de l'APARECO.
Je lui avais fait clairement comprendre que les propos sévères qu'il tenait - à tort ou à raison, peu importe - semaient le trouble dans le combat et provoquaient des divisions inappropriées en faveur du camp de l'ennemi. Notre compatriote Roger BONGOS m'avait prêté une oreille très attentive et entendu, m'invitant à déjeuner et me proposant lui même de faire des interviews promotionnelles de l'APARECO en tant que structure qu'il reconnaissait comme étant incontournable dans la résistance.
Je n’étais pas peu fier de ma démarche vers ce compatriote et frère qu'est Roger car nous étions ainsi arrivé - tout les deux - à faire "la paix des braves" à laquelle les Congolais tiennent tant. Je suis donc attristé de constater que les nouveaux hauts cadres de l'APARECO ne se soient pas alignés sur ma façon de faire afin de préserver l'unité sacrée de la diaspora. Eux préfèrent apparemment, et c'est leur droit le plus strict, ne pas faire preuve d'humilité à l'instar de votre humble serviteur et opter pour croiser le fer avec monsieur BONGOS en rendant coup pour coup. Œil pour œil et dent pour dent donc, quitte à semer de nouveau des divisions dommageables entre nous. En effet, faire fi du fait qu' autant l'APARECO a des sympathisants qui lui sont attachés, autant nous sommes toutes et tous reconnaissants à Roger BONGOS pour le travail énorme qu'il abat à son niveau afin que nous soyons toutes et tous visibles, est une grossière erreur de jugement et d'appréciation ! J'invite donc humblement et instamment monsieur Honoré NGBANDA à rappeler ses lieutenants et à leur intimer l'ordre de mettre fin aux hostilités et à rentrer dans les rangs. Faire autrement serait perdre de la hauteur pour une personne et son groupement qui se disent être les leaders de la Résistance. Ce que personnellement j'accepte volontiers. Encore faudrait-il souffrir de prendre sur soit et de se comporter en conséquence afin de rester concentrer uniquement sur notre objectif commun puisque les Congolais ne sont plus dupes des propos des uns et des autres, quels qu'ils soient et d'où qu'ils proviennent !
Même si cela peut paraître légitime comme défense, je trouve grotesque, dangereux et antinomique, pour des raisons évidentes de crédibilité, de défendre monsieur Honoré NGBANDA via un byzantinisme très mal inspiré que d'aucun constate aisément au travers des propos incendiaires contre monsieur Bongos en faisant constamment allusion au passé de ce dernier. Il s'agit d'une lacune en communication de la part des hauts cadres de l'APARECO qui provoque déjà des remous et qui dessert leur leader en ceci que cette technique chère aux nervis de "Joseph Kabila" utilisée à outrance et en vain par les collaborationnistes Congolais de notre imposteur national afin de détruire monsieur Honoré NGBANDA, n'a pas fait ses preuves puisque les Patriotes Congolais que nous sommes, savons faire la part des choses. Je vous laisse imaginer le ressenti !
J'invite donc monsieur Roger Bongos à qui je renouvelle mon amitié et mes conseils d'antan, ainsi que monsieur Honoré NGBANDA et ses hauts cadres de l'APARECO que je salue patriotiquement, à savoir raison garder, dans l’intérêt supérieur de notre lutte commune contre nos envahisseurs méchants et nos antivaleurs suicidaires !
Quant aux autoproclamés "Kabilistes du net", notre imposteur national sait qu'ils comptent pour du beurre et qu'à part le flatter matin, midi et soir, ils ne lui servent à rien du tout d'autre car nous savons faire bloc lorsque nos acquits sont menacés. Les preuves en la matière sont légion !!!
Voir ces liens sur Roger BONGOS
http://www.youtube.com/watch?v=FAh_NMOhLco&hd=1
http://www.youtube.com/watch?v=ZwECBuW0zF0&hd=1
Roger BONGOS