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13 Avril 2014
Crée le 13-04-2014 - 11H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ETINTERNATIONALE
. Mis à jour dimanche le 13-04-2014 - 11H55 PAR : ROGER BONGOS
Roger BONGOS à la Bourse du travail à Paris (Conférence sur l'Ebola)
Roger BONGOS le samedi 12 avril 2014 à la Bourse du Travail ( Paris République ), en conférence de presse avec la communauté guinéenne de Paris mobilisée pour faire face à l'épidémie d'Ebola qui sévit en Guinée Conakry à l'initiative de l'association C.A.G.F des guinéens de France...
Roger BONGOS a édifié la communauté guinéenne de Paris avec la triste expérience que la RDC a vécue avec le virus ( épidémie ) d'Ebola, devant un parterre d'intellectuels, activistes et associations œuvrant pour la Guinée Conakry en présence de son excellence de l'ambassadeur de la Guinée Conakry, Monsieur AMARA CAMARA, qui d'ailleurs a accordé une interview à Freddy Mulongo sur ce cas d'espèce.
Son excellence, Monsieur l'Ambassadeur AMARA CAMARA, Freddy MULONGO et Roger BONGOS
En ce qui concerne la virulente épidémie, de nouveaux cas d'Ebola ont été confirmés dimanche en Guinée où des équipes locales et internationales demeuraient mobilisées pour arrêter la progression de l'épidémie de fièvre hémorragique virale ayant fait depuis janvier 78 morts, selon le dernier bilan officiel.
Au total, "122 cas suspects de fièvre hémorragique virale dont 78 décès" ont été enregistrés jusqu'à samedi en Guinée, "soit un taux de létalité de 63%", selon un bulletin sur la situation épidémiologique transmis à l'AFP dimanche soir par le ministère guinéen de la Santé.
Le précédent bilan était de 111 cas, incluant 70 décès.
D'après les derniers chiffres officiels, sur plusieurs échantillons de cas de fièvre examinés, 22 se sont révélés positifs au virus Ebola, soit trois de plus que précédemment.
La moitié des cas d'Ebola concerne Conakry, la capitale, l'autre moitié des villes du Sud, l'épicentre de l'épidémie de fièvre hémorragique virale: Guéckédou (six cas) et Macenta (cinq cas).
A Conakry, la crainte d'une contamination a poussé de nombreux résidents à rester chez eux ou à limiter leurs déplacements, selon des témoignages recueillis leurs témoignages à un journaliste de l'AFP.
La RDC a enregistré plusieurs épidémies mortelles d’Ébola par le passé. En 1976, au moins 280 personnes infectées par la souche Ébola-Zaire sont décédées. Cette souche a fait 250 victimes en 1995 et 187 en 2007, et enfin en 2012 causant la mort de 36 personnes, selon les CDC ( Centers for Disease Control and Prevention – Centres de contrôle des maladies et de prévention )
Ebola : Ce virus a été identifié pour la première fois en 1976 après la survenue d’épidémies importantes au Soudan et dans le nord de la République démocratique du Congo. C’est une des rivières de ce pays qui a donné son nom à ce virus.
Le nom Ebola-virus, ou plus communément virus Ébola, provient du nom d'une rivière passant près de la ville de Yambuku, en République démocratique du Congo. C'est à l'hôpital de cette localité que fut identifié pour la première fois le filovirus, lors d'une épidémie qui débuta le 1er septembre 1976.
Ebola en Guinée Conakry
La fièvre Ébola est une fièvre hémorragique foudroyante qui s'attaque à l'humain et aux autres primates, principalement transmise par la chauve-souris. Son apparition chez l'homme semble récente (premier cas recensé en 1976) bien que l'on retrouve chez certaines populations africaines des traces d'anticorps.
Une maladie qui ne rapporte rien aux firmes internationales des laboratoires pharmaceutiques qui orientent leurs recherches dans des domaines bcp plus lucratifs que périlleux pour leurs entreprises...
C'est un cas qui ne touche pas encore l'Europe...Le jour où l'Europe sera touché on commercera à plancher sur ce virus qui n'a ni vaccin encore mois un traitement. C'est une volonté politique, de l'OMS qui subit le dictas de labos envahissants et confisquant les budgets alloués pour la recherche...
Roger BONGOS