10 Avril 2014
Crée le 10-04-2014 - 06H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ETINTERNATIONALE . Mis à jour jeudi le 10-04-2014 - 06H25 PAR : ARTV NEWS
LISTE DES DEPUTES ET SENATEURS AYANT VOTE LA LOI AMNISTIANT LES CRIMINELS TUEURS-TUTSIS-RWANDAIS DU M23
Par MBELO LISALIKO WENDA, Diplomate, Specialiste des Questions Approfondies de Politique Etrangeres. Tel. 00447405730256, E-mail : mbelorobert@yahoo.fr
Concerne : Le vote de la Loi amnistiant les criminels du M23
Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs,
Vous avez pris la lourde responsabilité de voter une loi cynique amnistiant des bandes de voyous du M23 sans tenir compte des cris des femmes meurtries du Kivu. Je vous laisse le soin de lire cette lettre vous adressée par une femme, Marie-Christine Balangaqui a su traduire avec ses mots les douleurs que ressentent les femmes bantoues congolaise que vous avez insultées en votant cette loi du 14 février 2014. Vous avez trahi la mémoire de 8.000.000 de mort congolais, en même temps que vous avez trahi également votre serment vis-à-vis du Peuple Congolais. La liste de tous vos noms se trouve en annexe de cette lettre ; vous serez aussi tenus comptables devant la justice humaine.
Sachez Mesdames et messieurs, déjà une plainte formelle a déjà été déposée contre vous tous devant DIEU et vous subirez la rigueur de la Loi Divine et vous connaitrez toutes les malédictions telles prescrites dans les écrits bibliques du Livre de Deutéronome, et ce de génération a génération.
Il en sera de même pour tous ces pseudo-diplomates véreux et corrompus qui se sont attelés à faire des virées à Kampala, alors que ce pays nous agresse et qu’il avait déjà été condamné par la Cour Internationale de La Haye par son arrêt du 19 décembre 2005 pour des crimes de guerre commis au Congo. Et ça, ils ne le savaient pas ; tout comme ils ne savaient pas également que la RDC avait déjà signe un autre accord de ce genre avec le CNDP et que Loi amnistiant avait déjà été promulguée le 7 mai 2009 par Joseph Kabila, toujours pour couvrir ses frères criminels tueurs-tutsis-rwandais. Ces pseudo-diplomates nous ont fait honte à Nairobi en signant un document ignoble qui aliène la souveraineté du Congo, et nous sommes devenus la risée du monde.
Ceci étant, prenez vos responsabilités et que chacun puisse assumer son vote et qu’il le dise devant l’opinion des bantous congolais que sommes et que ceux qui avaient voté pour, seront traduits devant les juridictions d’exception pour complicité et association de malfaiteurs en bandes organisées pour crimes de guerre, crimes contre l’humanité et pour crimes de génocide. Vous serez également poursuivis pour crimes économiques et pour pillage de ressources minières, pétrolières, gazières et autres. Si vous ne le saviez pas encore, la guerre que nous soumet aujourd’hui, le monde entier, est une guerre de type ethnique ; les tutsis contre nous les bantous. La communauté occidentale, l’ONU et les multinationales ont donné le quitus aux criminels de l’AFDL, du RCD/Goma et affidés, du CNDP, aujourd’hui du M23 pour massacre, nous les bantous congolais pour s’adjuger de nos richesses et c’est le rôle qui avait été assigne a la MONUC puis a la MONUSCO. Celle-ci sera aussi citée a comparaitre pour complicité de tous les crimes qu’elle laisser faire au Congo. Son déménagement de Kinshasa est le dernier round de la balkanisation de notre pays. Vous avez vendu le pays pour des miettes de quelques billets de dollars que l’occupant vous jette a la figure et que cet argent il vous le vol dans votre propre pays…
Sachez enfin, Mesdames et Messieurs que ; tous les accords, toutes les lois, ordonnances et autres arrangements maffieux signes par les gouvernements d’occupation successifs seront abroges des qu’il aura un Gouvernement responsable au Congo. A présent, prenez le temps de lire cette lettre de Mme Christine Balanga et vous percevrez les dégâts que vous avez commis. Il est temps que vous vous repentiez, autrement, Dieu prononcera sa sentence et elle sera sans appel.
MBELO LISALIKO WENDA.
« AUX HOMMES POLITICIENS CONGOLAIS
EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE
DU CONGO (TOUS)
Ref: FCDD/MCB-RM/002/1012
Objet: Trop, c’est Trop : l'holocauste : Nous voulons enfin la paix
Messieurs,
« NOUSFEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA ;tenons par la présente vous rappeler votre rôle en tant que homme, mari et père de famille parce que, depuis que notre pays a été envahi par des tueurs-tutsi-rwandais, vous avez abandonné votre rôle de garant et de protecteur des femmes, enfants, hommes congolais, et nous insistons sur le sort des femmes que nous sommes. »
« A l’heure actuelle, plus de 6.000.000 de congolais et congolaises ont été massacrés à l’est du pays sans que vous, hommes politiques ou hommes tout court, ne puissiez les protéger et prendre leur défense ? Où est votre honneur d’homme, avez-vous géré ce drame en bon père de famille ??? Pourquoi n’aviez-vous jamais osé demander des indemnisations pour les familles des victimes ? »
« C’est pourquoi nous tenons instamment à vous rappeler, au cas où vous l’ignoriez que notre pays, la République Démocratique du Congo, est sous occupation politico-militaire étrangère et la conséquence de celle-ci est que le territoire du Kivu est en fait l’objet d’une annexion rampante au profit du Rwanda qui en fait exerce la plénitude de ses prérogatives sur ce territoire et que le gouvernement congolais n’y exerce plus son impérium. »
« La tentative de la création du territoire de Minembwe par le RDC/Goma est un des plusieurs stratagèmes qu’use le Rwanda pour s’adjuger cette partie de la RDC et au-delà, l’ensemble du pays ».
« Il s'agit d'une opération effectuée non en vertu d’un traité, par laquelle la totalité ou une partie d'un territoire d'un Etat passe sous la souveraineté d’un autre Etat, mais suite à plusieurs accords maffieux signés entre le gouvernement et des bandes de mercenaires rwandais, dont le plus significatif est celui signé avec le CNDP. »
« Comment aviez-vous laissé faire Raymond Tshibanda, alors ministre de la coopération internationale aller signer un accord engageant notre pays avec un individu sans qualité ni titre du nom de Désire KAMANZI, qui n'est qu'un criminel rwandais prétendument président du CNDP ? Quel déshonneur ! »
« Comment pouvez-vous vous laisser manipuler par une bande de criminels tutsi-rwandais au détriment des intérêts de toute une nation, de tout un peuple? »
« Comment ne pouvez-vous pas récuser l’envoyé spécial du Secrétaire Général des Nations-Unies, MonsieurOlessegun Obasanjo, dès l’instant où il était apparu que celui-ci n’était plus crédible de par le fait qu’il avait choisi d’embrasser et de danser avec ces criminels qui nous tuent et qui nous massacrent ? Dites-nous maintenant qui est le chef du CNDP ? Et qu’est devenu ce mouvement ? Que des mensonges ! »
« Comment, pour la signature d’un texte d’une nature aliénant la souveraineté du pays et qui requiert la ratification par le vote du Parlement, vous aviez pu laisser un simple ministre aller engager ainsi tout un pays ? Et la conséquence de cette méprise juridique et diplomatique est la pérennisation de l’occupation de notre pays et la mise en danger de mort permanent des femmes et des enfants sans défense. »
« C’est pourquoi, nous avons jugé important de vous rappeler que cet accord signé le 23 mars 2009 à Goma n’est qu’un contrat sous-seing privé signé entre deux entités incompétentes juridiquement. D’un cote, il s’agit d’un membre d’un gouvernement qui fait allégeance à une puissance étrangère, et de l’autre, un groupe de mercenaires qualifié d’abusivement « rébellion ».
« 1.-Il comporte dans cet accord des éléments dolosifs qui dès le départ l’avait rendu caduc car en droit international, le dol est tout procédé trompeur employé par un Etat pour obtenir le consentement d'autres Etats qui vont devenir parties à un traité : il doit avoir été déterminant du consentement. »
« La Communauté internationale, pour tromper l’opinion l'avait intitulé « Accord de paix signé entre la République Démocratique du Congo et le CNDP ». Encore une fois, vous avez été naïfs de croire qu’il s’agissait réellement d’un accord de paix, alors qu’il s’agissait d’une subterfuge pour faire la part belle à des criminels rwandais pour les intégrer au gouvernement, dans l’administration, dans la diplomatie, dans l’armée, dans la police, dans les services de sécurité et dans les entreprises publiques »
« Vous avez été également naïfs de prêter foi aux autosatisfactions de ces deux parties à cet accord maffieux lorsqu’elles vous ont fait croire qu’elles se félicitent de cet accord qui les converge dans la vie politique nationale. »
« De son côté, la Monuc, par le biais de son chef à l’époque, Mr.Alan DOSS, avait promis d’aider les parties signataires dans la mise en œuvre de cet accord qui ramènerait la paix au Congo alors que ce ne sont que des mensonges !!! »
« Messieurs, combien de fois ces tueurs tutsi-rwandais doivent vous tromper et vous manipuler alors qu’ils l’avaient déjà fait lors de la signature de « l’accord de paix de Lusaka » de juillet 1999 ? »
« Ne vous souvenez vous donc de rien ? A cette époque-là, les commanditaires de cette félonie avaient prétendu qu’avec la signature de cet accord, les troupes rwandaises allaient quitter notre pays. On les a vues quitter le territoire congolais pour revenir nuitamment en tenue civile transportées par des camions de la Monuc. Vous ne vous en souvenez plus »
« 2.- Dès l’instant où le gouvernement actuel à Kinshasa est une sorte de gouvernement de « Vichy », faisant allégeance au pouvoir de Kigali au Rwanda, comme ce fut le cas en France sous l’occupation de l’Allemagne nazie, son consentement s’en trouve vicié et corrompu. »
« C'est l'un des procédés les plus invoqués en droit international, en matière de vice de consentement. Il doit s'agir d'un acte imputable directement ou indirectement à un Etat ayant participé à la négociation, et qui corrompt le consentement du représentant d'un autre Etat-partie. (Voir l’art. 50 de la Convention de Vienne de 1969). Ceci est valable pour tous les accords signés par ce gouvernement »
3.- La contrainte exercée sur le représentant de l'Etat. (Art. 51) : lors des « négociations » de l’accord de paix de Lusaka, Laurent Désiré Kabila avait été contraint de signer l’accord par la contrainte.
« Cela peut être une contrainte psychologique ou physique, menaçant la vie privée, familiale, ou professionnelle du représentant de l'Etat. L'exemple le plus connu est la pression physique exercée par Hitler en 1939 sur le président tchécoslovaque pour le forcer à conclure un traité instaurant un protectorat allemand sur le territoire des Sudètes. Ce traité a été dénoncé après la guerre comme invalide, car conclu sous la contrainte »
« A ce jour, Joseph Kabila signe tous ces accords maffieux par complaisance tout simplement parce que c’est un usurpateur et du fait qu’il n’est pas Congolais, c’est un sujet rwandais. Vous le savez donc bien et vous n’avez jamais réagi à ce sujet. Il y a donc là erreur sur leplénipotentiaire. »
« Par conséquent, tout ce qu’il signe au nom du Congo est nul et de nul effet en droit. Ses rires à gorge déployé avec ses compères criminels Kagamé et Museveni prouvent à suffisance son mépris qu’il a toujours éprouvé contre le peuple congolais. Quel est ce chef d’Etat congolais qui resterait inerte alors que son pays est l’objet d’une agression étrangère »
« Messieurs, saviez-vous que le texte de ce document de l’accord avec le CNDP, était gardé secret par toutes les parties durant les négociations, n’a pas été lu devant l’assistance que quelques minutes avant sa signature ? Et c’est à cet homme-là, (Raymond Tshibanda) que l’on confie le poste de Ministre des Affaires Etrangères ? Vous ne l’aviez jamais interpelé pour ce faire, et vous vous êtes toujours mués dans un silence de mort »
« Vous n’avez pas réagi aux déclarations mensongères du gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku, sur radio Okapi qui avait dit que l’accord prévoyait la fin des hostilités, la transformation des groupes armées en partis politiques, le retour des déplacés et des réfugiés chez eux et, sans être explicite, l’intégration des cadres de tous les groupes armés dans la vie politique nationale. Où en sommes-nous aujourd’hui ? La paix est-elle revenue au Congo ».
« C’est pourquoi NOUSFEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA tenons à clarifier les choses en vous faisant voir vos erreurs et vos compromissions et en vous mettant devant vos responsabilités.
D’emblée, nous tenons de mettre à nu le rôle de Joseph Kabila et celui de Vital Kameherequi sont deux personnages clés impliquésdans les malheurs que nous femmes connaissons et subissons tous les jours: »
« I.-KABILA, UN PRODUIT DE L’INVASION RWANDAISE
Joseph Kabila a réussi l’une des missions lui confiées : Faire du Congo et des Congolais des proies faciles, sans défense ni sécurité, face au Rwanda et de pérenniser l’occupation de l’Est de la RDC et enfin d’assujettir tout le Congo.
Il est le cheval de Troie introduit au Congo.
Joseph Kabila” est parmi les plus grands criminels de l’histoire de l’humanité imposé au peuple congolais par le truchement d’une escroquerie et mascarade électorale avérée.
Sa vraie place est, non à l’air libre et encore moins au Sommet de l’Etat Congolais, mais en prison après avoir été traduit devant le Tribunal Pénal international pour :
- imposture, esclavagisme, dictature, crime de génocide, viols et violences sexuelles, corruption, trafic illicite d’armes, commerce dangereux d’uranium, blanchiment d’argent sale, violations massives et systématiques des libertés des droits fondamentaux de l’homme, tortures, pillage accéléré et inconsidéré des richesses naturelles de la RD Congo, peines réservées aux esclaves (mutilations, peines de fouet), traitements cruels, inhumains et dégradants, massacres à large échelle, création et entretien des conflits armés, alliances avec les génocidaires, crimes de guerre et crimes contre l’humanité -.:
à exterminer des milliers des soldats ex-FAZ : à Kitona, à Kamina, à Pweto…. ;
à bloquer la réhabilitation de notre seule armée officielle, nationale et républicaine : des soldats-ex-FAZ disséminés dans le monde alors que les politiciens qui leur donnaient des ordres et des instructions, sous le régime de Mobutu, se trouvent dans les institutions de l’Etat à Kinshasa
C’est la seule armée capable de protéger les populations, les biens, les institutions démocratiques, les gestionnaires de l’Etat ; de défendre les frontières nationales et l’intégrité de notre territoire, de participer au développement du pays…. ;
à faire échouer le programme DDR (désarmement des milices congolaises à la solde des seigneurs de guerre, leur démilitarisation, leur internement dans les casernes pour qu’on procède à leur identification individuelle sur base des qualifications individuelles, de l’équilibre régional… ; réinsertion sociale des démobilisés et des retraités volontaires…) ;
à bloquer le départ ordonné de toutes les troupes et milices étrangers du territoire national : il a même scellé des alliances avec des interahamwe génocidaires rwandais hutus ;
à bloquer la réforme des services de sécurité, de sûreté et des renseignements du pays : les services opérations jusqu’à ce jour sont hérités de la dictature et sont sous le contrôle des étrangers : DEMIAP, PIR, ANR… ;
à tromper les Congolais avec le bricolage appelé le “brassage” et le “mixage” des milices (mots qui ne se trouvent nulle part dans les résolutions du dialogue inter congolais) : ces milices “brassées” et “mixées” sont les milices périphériques des seigneurs de guerre. Leurs troupes d’élite sont gardées au frais et au vert sur notre territoire national.
Il est parmi les planificateurs des « rebellions » du CNDP et du M23
à entretenir des procédés de « réconciliations » floues et mensongères aux travers des accords dits, « Umoja wetu », « KimiaI », « KimiaII », »AmaniI », « Amani II », et sur le plan International, « Nairobi I », « Nairobi II », les récents accords d’« Addis-Abeba » et de « Kampala I » et très bientôt « Kampala II »
à créer des milices “brassées” et “mixées” non expérimentées pompeusement appelées “FARDC” des escadrons de la mort, des milices de répression des manifestations populaires pacifiques, des opposants politiques et d’opinion, de toute manifestation de conscience nationale.
Ces milices sont même à dessein placées dans des conditions déplorables qu’elles se découragent ; se livrent, pour survivre, au rançonnement de la population, au pillage des biens, aux viols et violences sexuelles…
Elles sont même placées dans des conditions hygiéniques insalubres pour qu’elles soient décimées par des maladies épidémiques et endémiques (choléra, sida) ; aux viols et violences sexuelles pour transmettre aux victimes des maladies comme le sida… ;
à perpétuer des conflits armés dans le Pays et dans la région pour déstabiliser notre pays : l’instabilité politique et l’insécurité étant l’une des conditions propices au pillage des richesses nationales, à l’extermination des populations, au blocage du développement de notre pays : est l'homme de main de l'instauration de la politique du chaos voulue par les grandes puissances pour déstructurer notre pays en le mettant à genoux….
à entretenir toute une Armée composée d’étrangers (GSSP) : ougandais, tanzaniens, rwandais, burundais : qui sont des escadrons de la mort protégeant l’imposteur, protégeant son pouvoir et son le régime. Ils sont prêts à massacrer les Congolais comme des chèvres et des mouches à chaque manifestation, à chaque contestation ;
Les soi-disant policiers sont en réalité ses militaires, des escadrons de la mort étrangers habillés comme des policiers pour tromper l’opinion ;
à poursuivre, malgré l’embargo décrété par l’ONU, la circulation et le trafic illicite d’armes au Congo et dans la région ;
Sa complicité évidente avec le M23 se fait voir au jour le jour aux travers des rencontres diplomatiques infructueuses : Addis-Abeba, Goma, Kampala I, Kampala II. La consécration de cette félonie fut son petit discours truffés des mensonges et d’incohérences qu’il a prononcé aux Nations-Unies sans citer le pays agresseur ».
« II.- VITAL KAMEHERE L’IDEOLOGUE DE JOSEPH KABILA
1.- LES MENSONGES DE KAMEHERE
« Il y en a plusieurs, mais nous avons choisi l’un des plus significatifs.
« C’est en relisant des extraits de son livre « pourquoi j’ai choisi Kabila » que l’on va se rendre compte de la fourberie de cet homme aux origines douteuses qui a fait campagne en 2006 pour KABILA, le bourreau des femmes du Congo ».
« Nous vous laissons lire des extraits de ces mensonges de Kamehere qui ont porté Joseph Kabila au pouvoir parce que vous oubliez vite les faits et événements historiques qui datent pourtant d’hier et sombrez dans l’amnésie jusqu'à le porter au pinacle comme chef de l’opposition ! »
« Lorsque vous auriez lu ses mensonges, vous n’aurez plus de doute sur sa personne. Celui qui a menti, mentira toujours. »
Pourquoi j'ai choisi Joseph Kabila (Extrait du livre de V.Kamerhe sur la formation de Joseph)
La jeunesse et la formation d'un Chef
« Néanmoins, nous savons que Joseph Kabila Kabange est né à Fizi, le 04 juin 1971, de Laurent-Désiré Kabila et de maman Sifa Mahanya. Fils jumeau d'un maquisard recherché, il a une jumelle, Jeannette Kabila. Sa vie fut couverte d'une profonde discrétion pour des raisons que l'on peut comprendre, Mobutu n'épargnant personne lui ayant opposé une lutte armée.
N'empêche il est temps de donner quelques détails, une fois pour toutes, pour mettre fin aux spéculations maladives qui s'évaporent dans le ciel congolais.
S'agissant de son parcours scolaire et académique, le Président Joseph Kabila a commencé ses études primaires dans le maquis de Fizi et va les terminer à l'école française de Dar-es-Salaam. Il a entamé et terminé dans la même ville ses études secondaires où il a obtenu l'équivalent du diplôme d'état congolais.
Sans doute il aurait dû comme tout jeune, immédiatement continuer sa formation universitaire, mais c'était sans compter avec la révolution dont les fondements philosophiques pour l'action future avaient déjà commencé en Tanzanie par une formation militaire.
L'histoire nous apprend d'ailleurs qu'il suivra son père dans le combat contre le régime Mobutu pendant que sa jumelle Jeannette va étudier à l'Université de Makerere, en Ouganda pendant deux ans d'abord et ensuite à l'Université de Windhoek où elle obtient une licence en Communication. Il sied de noter que Joseph Kabila, lui-même, était inscrit à l'Université de Makerere avant d'aller rejoindre M'Zee dans la guerre de libération du Congo.
Ne voulant pas rester en marge du monde et des mutations technologiques actuelles, et ce, après la victoire finale des Forces de l'Alliance sur le régime MPR. Kabila Kabange a parfait sa formation d'officier à l'Université de la Défense Nationale de Pékin.
Soucieux d'offrir le meilleur de lui-même dans l'accomplissement de sa tâche importante, le Président Joseph Kabila s'est inscrit au Washington International University pour des cours par correspondance, cours qu'il a brillamment assumés. Il a reçu le titre de « Bachelor of Arts in International studies and diplomacy »
Pour l'authentification de ce document, deux avenants y sont annexés.
Joseph Kabila a fait tout cela en silence pour qu'il puisse lui-même augmenter sa vision des hommes du monde dans l'humble but de servir. Il refuse le culte du diplôme et pense que l'intelligence d'un homme se mesure par sa capacité d'apporter des solutions aux problèmes multiples qui se posent à sa société et non par l'accumulation de diplômes.
Son action personnelle dans le domaine de la paix et sa perspicacité politique lui ont valu un diplôme d'honneur n° 67 de la Hankuk University of Foreign Studies. Sous la plume de Sung Joon Yoo, PH.d, on peut lire le texte suivant : « cette personnalité a donné des contributions significatives au processus de paix, il a favorisé le développement social et économique de son pays, il a contribué à l'enrichissement des relations bilatérales entre la République de Corée du Sud et la République Démocratique du Congo en promouvant la réconciliation et la coopération en Corée. En reconnaissance de ce accomplissement et avec l'aval du Comité de l'Institut Supérieur, nous lui décernons un diplôme de Docteur en Sciences Politiques »
C'est exactement le même diplôme qui a été décerné à Son Excellence Sam Nujoma, ancien Président de la Namibie, avec le titre de Docteur qu'il a porté tout au long de son mandat à la tête de la République Namibienne. »
« Il faut le dire sans ambages : d'une manière générale toute la polémique entretenue par certains esprits malveillants autour de la question de diplôme pour devenir Président de la République, n'a aucun sens ».
« Je connais de grands hommes d'Etat à travers le monde qui ont été de très bons gestionnaires alors que ce n'était que de brillants autodidactes. Je pense à l'ancien Premier Ministre Français Bérégovoy, à l'ancien Président Polonais Lech Walessa qui de simple ouvrier qualifié aux chantiers navals de Gdansk, est devenu, à la tête du Syndicat Solidarnosc, Président de la République… »
J'entends ici et là des gens évoquer des critères de diplôme de licence ou de doctorat pour devenir Président de la République. Tant qu'ils y sont, ils feraient mieux de faire de tous les Docteurs en sciences des Présidents de la République et de tous les Présidents de la République, des Docteurs en sciences. Ce qui est une aberration.
« Joseph KABILA : chef militaire
Lors de sa formation militaire de base en Tanzanie, Joseph Kabila se distingue par son aptitude au commandement et par ses qualités morales d'officier et de meneur d'hommes.
C'est ainsi que M'Zee lui confie en 1996 et malgré son jeune âge, la direction des opérations sur l'axe Kisangani.
Les succès qu'il remporte lors de ses premiers commandements notamment à Kisangani et sur l'axe Lubumbashi suscitent l'admiration de ses collègues officiers et surtout celle de son père M'Zee Laurent-Désiré Kabila qui n'hésite plus à lui confier des charges plus lourdes.
Le 16 mai 1997, Joseph Kabila à la tête des troupes de libération de l'Afdl, entre triomphalement dans la Ville de Kinshasa.
Son sens élevé du devoir d'officier, ses qualités d'organisateur et son amour pour la patrie et le travail bien fait, amènent M'Zee à nommer Joseph Kabila Chef d'Etat-Major Général Adjoint des FAC en 1997 puis Chef d'État-major Général, en remplacement du Général Kifwa en 1998.
Soucieux de parfaire ses études militaires, Joseph Kabila est envoyé en Chine pour y suivre, à l'Université de la Défense de Pékin, les cours de hautes stratégies et de commandement des opérations interarmées.
Revenu au pays en pleine guerre, Joseph Kabila est nommé Général-Major et Commandant de la Force Terrestre, fonction qu'il assumera jusqu'au 16 janvier 2001. Pendant la guerre, Joseph Kabila est de tous les fronts : Aéroport de N'djili, Mbandaka et l'Equateur, Mbuji-Mayi, Kabinda et le Kasaï-Oriental, Pweto et le Katanga… sans compter la résistance à l'Est qu'il soutient discrètement mais efficacement.
Il est partout à la fois, Il planifie tout et contrôle tout. Il est aimé par ses collègues Officiers et surtout par la troupe sur laquelle il porte une attention particulière.
Il suit d'une manière minutieuse les aspects militaires de l'accord de Lusaka, ceux des Accords de Pretoria et de Luanda signés respectivement avec le Rwanda et l'Ouganda ainsi que ceux du Dialogue Inter congolais.
Pour ce faire, il fait singulièrement confiance à un brillant Officier, le Général Didier Etumba qui, se confiant un jour à moi, dira : « Vital, le Chef m'épate chaque jour ; ses schémas pour la résolution des grandes questions militaires de différents processus sont d'une pertinence et d'une inspiration prodigieuses… »
Je me souviens, et avec moi, les Généraux Kalume et Munene, qui à Lusaka, lors de la première réunion de la Commission Militaire Mixte instituée par l'Accord de Lusaka, il avait été demandé au Général Didier Etumba d'esquisser un plan de déploiement de la MONUC en République Démocratique du Congo.
Bien que néophyte dans les matières militaires, je me rappelle encore très bien des observations pertinentes faites par le Général Joseph Kabila, appuyées par le Général Kalume, dans une chambre au 3è étage de l'Hôtel Intercontinental de Lusaka.
Je me souviens enfin que ce plan, présenté concurremment avec ceux des Rwandais et des Ougandais, aux premiers experts de l'ONU (Un Colonel Français, un Colonel Britannique et un Colonel américain), avait été jugé meilleur et retenu quasiment sans modification. La Carte militaire dressée à cet effet par le Général Didier Etumba, avait été demandée par ces trois experts de l'ONU, qui la prirent avec eux »
S/é: Vital Kamerhe
Extrait de son livre : "Pourquoi j'ai choisi Joseph Kabila"
où il parle des études du Président.
« 2.- SON ACTION NEFASTE ENVERS LES FEMMES
Messieurs,
« Poursuivant le calendrier caché des tueurs-tutsi rwandais, VITAL KAMEHERE, alors Président de l’Assemblée Nationale, avait, sur injonction de Joseph Kabila, avait fait voter la loi d’amnistie dont le projet avait été présente par le Ministre Mutombo Bakafwa Senda, Ministre de la Justice de l’époque.
Cette loi comme vous pouvez le constater, consacre l’impunité des tueurs-tutsi-rwandais et leur donne le droit de tuer les femmes congolaises au su et au vu de vous, hommes politiques congolais !
« Quelle honte !!!
« Ne rejetez pas la responsabilité à la MONUSCO parce qu’elle ne fera rien et vous le savez bien. Son responsable : Roger Meece s’occupe de protéger les intérêts des puissances étrangères, des multinationales et consort. (cf. la lettre ouverture des Femmes de la Diaspora Congolaise adressée au Secrétaire Général de l'ONU) qui organisent le pillage des matières stratégiques de notre pays pour les négocier à Kigali et à Bujumbura. Vous devez et avez l’obligation de chasser les occupants de notre pays, mais vous vous terrez dans un silence coupable et complice. »
VOICI LE CONTENU SOMMAIRE DE CETTE LOI D’AMINISTIE
Article 1er
Il est accordé à tous les Congolais résidant sur le territoire de la République Démocratique du Congo ou à l’étranger une amnistie pour faits de guerres et insurrectionnels commis dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Article 2
Aux termes de la présente loi, on entend par:
• Faits de guerres, les actes inhérents aux opérations militaires autorisées par les lois et coutumes de guerres qui, à l’occasion de la guerre, ont causé un dommage à autrui;
• Faits insurrectionnels, les actes de violence collective de nature à mettre en péril les institutions de la République ou à porter atteinte à l’intégrité du territoire national.
Article 3
La présente loi d’amnistie ne concerne pas le crime de génocide, les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité.
Article 4
La présente loi ne porte pas atteinte aux réparations civiles, aux restitutions des biens meubles et immeubles ainsi qu’aux autres droits dus aux victimes des faits infractionnels amnistiés.
Article 5
Les faits amnistiés sont ceux commis pendant la période allant du mois de
Juin 2003 à la date de la promulgation de la présente loi.
Article 6
Le ministre de la justice est chargé de l’exécution de la présente loi qui
entre en vigueur à la date de sa promulgation.
Fait à Kinshasa le 7 mai 2009
Joseph KABILA KABANGE
« A cause de cette loi inique et cynique, voici à quoi nous assistons :
Enfants violés, vieillards violés, femmes violées, enterrées vivantes, femmes mutilées, femmes meurtries, femmes sauvagement tuées et à qui ces criminels enfoncent des sticks de bois, des débris de verre et du sable dans leurs vagins… tout ceci se passe devant vous, hommes politiques congolais sans que vous puissiez réagir pour mettre fin à ces massacres et carnages et nous protéger, préférant sauvegarder vos intérêts personnels et vos privilèges. »
« Messieurs,
Au lieu de vous plaindre tout le temps auprès des institutions internationales ou auprès de certaines hautes personnalités, vous devez plutôt vous organiser en résistant afin de bouter dehors tous les tueurs tutsis rwandais de notre pays »
« Vous en avez les moyens, mais c’est la peur, la concussion et la compromission qui vous en empêchent. Nous vous invitons à les surmonter et à vous organiser, car trop c’est trop, prenez vos responsabilités ».
« Le seul qui a osé le faire c’est le députe José Makila ; suivez son exemple, poursuivez Joseph Kabila, de haute trahison, d’imposture et de parjure.
« Nous ne comprenons pas comment vous supportez de voir des criminels rwandais comme Ruberwa, Nyarugabo, Bizima, Rugwiza, Charles Bisengimana, le General Bivete et tant d’autres responsables des crimes odieux sur les femmes et sur des sœurs religieuses congolaises à Kasika, Mwenga, Makobola,Gatumba Rutshuru, Goma et Bukavu puissent encore circuler librement dans notre pays et continuer de jouir de la manne de notre pays pendant que le pasteur Kuthino, Mokia et le députéDiomicroupissent en prison, et tant d'autres, en l'occurrence les militaires d'origine de la région de l'Equateur qui croupissent depuis des années à la prison de Makala ? »
« Comment pouviez accepter que ces hommes politiques congolais : Zahidi Ngoma, Tambwe Mwamba, Lambert Mende, Kin-Kiey Mulumba, Wamba dia Wamba, continuer à occuper des fonctions dans des institutions du pays alors qu’ils ont été tous des porte-paroles des tutsi-rwandaise » ?
II.DE LA LEGITIMITE DE LA RESISTANCE CONGOLAISE ET DU DROIT DUPEUPLE CONGOLAIS DE PRENDRE EN MAIN SA PROPRE DESTINE
« NOUSFEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA nereconnaissons pas la légitimité du gouvernement en place en République Démocratique du Congo, lequel ressemble à tous égards au gouvernement de Vichy en France, à l’époque de l’occupation allemande. »
« En effet, c’est grâce à l’appel du General De Gaulle du 18 juin 1940 que se sont constitués des réseaux de résistance afin de combattre l’occupation allemande. Aujourd’hui, le CDN lance un appel vibrant à tous les Congolais de venir le rejoindre afin de constituer un front commun pour libérer la République Démocratique du Congo de l’emprise étrangère et d’effacer ainsi des humiliations subies durant plusieurs années »
« Avant la France, le peuple des Etats-Unis ont résisté devant le colonisateurs anglais et ont abouti à la Déclaration unanime de 13 Etats unis d’Amérique réunis en Congrès le 4 juillet 1776 à Philadelphie dont voici les extraits les plus significatifs qui ont marqué les esprits des résistants congolais »
« Lorsque dans le cours des événements humains, il devient nécessaire pour un peuple de dissoudre les liens politiques qui l'ont attaché à un autre et de prendre, parmi les puissances de la terre, la place séparée et égale à laquelle les lois de la nature et du Dieu de la nature lui donnent droit, le respect dû à l'opinion de l'humanité oblige à déclarer les causes qui le déterminent à la séparation… »
« …Toutes les fois qu’une forme de gouvernement devient destructeur de ses buts, le peuple a le droit de la changer, de l’abolir et d’établir un nouveau gouvernement, en le fondant sur les principes en l’organisant en formes qu’il lui paraitront les plus propres à lui donner la sureté et le bonheur ». »…
…En conséquence, nous, les représentants des États-Unis d'Amérique, assemblés en Congrès général, prenant à témoin le Juge suprême de l'univers de la droiture de nos intentions, publions et déclarons solennellement au nom et par l'autorité du bon peuple de ces Colonies, que ces Colonies unies sont et ont le droit d'être des États libres et indépendants ; qu'elles sont dégagées de toute obéissance envers la Couronne de la Grande-Bretagne ; que tout lien politique entre elles et l'État de la Grande-Bretagne est et doit être entièrement dissous ; que, comme les États libres et indépendants, elles ont pleine autorité de faire la guerre, de conclure la paix, de contracter des alliances, de réglementer le commerce et de faire tous autres actes ou choses que les États indépendants ont droit de faire ; et pleins d'une ferme confiance dans la protection de la divine Providence, nous engageons mutuellement au soutien de cette Déclaration, nos vies, nos fortunes et notre bien le plus sacré , l'honneur. ».
En conséquence, nous, les représentants des États-Unis d'Amérique, assemblés en Congrès général, prenant à témoin le Juge suprême de l'univers de la droiture de nos intentions, publions et déclarons solennellement au nom et par l'autorité du bon peuple de ces Colonies, que ces Colonies unies sont et ont le droit d'être des États libres et indépendants ; qu'elles sont dégagées de toute obéissance envers la Couronne de la Grande-Bretagne ; que tout lien politique entre elles et l'État de la Grande-Bretagne est et doit être entièrement dissous ; que, comme les États libres et indépendants, elles ont pleine autorité de faire la guerre, de conclure la paix, de contracter des alliances, de réglementer le commerce et de faire tous autres actes ou choses que les États indépendants ont droit de faire ; et pleins d'une ferme confiance dans la protection de la divine Providence, nous engageons mutuellement au soutien de cette Déclaration, nos vies, nos fortunes et notre bien le plus sacré , l'honneur. »
____________________________________________________________
(1)Il fallut trois semaines à Thomas Jefferson pour rédiger le premier texte. Même si à l'époque, on voulut faire penser que la Déclaration était une œuvre collective, les recherches des historiens et des juristes ont démontré que Jefferson en était bien le principal rédacteur. Jefferson était un Virginienâgé de 33 ans en 1776. Il était formé au métier d'avocat, comme bien d'autres acteursde la Révolution américaine. Homme des Lumières, il avait beaucoup lu et restait influencé par la pensée des philosophes John Lockeet Henry Home. Jefferson était également un planteur qui possédait des esclaves
« Ainsi, tout comme pour la résistance américaine et française, la résistance congolaise tire sa source de légitimité du fait qu’elle mène son combat au nom de la liberté de la patrie, au nom des droits de l’homme ainsi qu’au nom de la dignité humaine contre les occupants et leurs complices.
De ce point de vue, la lutte que vous mènerez est légale et que les manifestations de celle-ci sont fondées dans la mesure où elles ont pour mission laver l’humiliation actuelle de la R.D.C., en lui donnant une nouvelle légitimité face au pouvoir d’occupation, et de faire valoir le droit du peuple congolais à l’auto-détermination. »
« C’est pourquoi, se basant sur les dispositions fondamentales de la Charte des Nations-Unies, notamment l’article 1er, alinéa 2 qui stipule : « … le respect du principe de l’égalité de droit des peuples et de leur droit de disposer d’eux-mêmes, et de prendre toutes autres mesures propres à consolider la paix dans le monde. »,
« NOUSFEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA vous invitons de faire du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes le leitmotiv de leur lutte commune, du fait que ce droit est un principe de droit international positif reconnu par l’ensemble de la communauté des Etats, et consacre par l
En effet, comme vous le savez, la résolution 1514 (XV), dite « Déclaration sur l’Octroi de l’Indépendance aux pays et aux Peuples coloniaux réaffirme avec vigueur le droit à l’autodétermination ainsi que le principe de l’intégrité territoriale. Ainsi le paragraphe 6 de cette résolution stipule clairement que« toute tentative visant à détruire partiellement ou totalement l’unité nationale et l’intégrité territoriale est incompatible avec les buts et les principes des nations Unies ».
« Faisant sienne cette énoncé, NOUSFEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA luttons pour rétablir l’unité nationale, l’intégrité territoriale et la souveraineté nationale qui sont mises à mal en République Démocratique du Congo »
« C’est dans le même esprit qu’une fois encore, l’Assemblée Générale des Nations-Unies avait adopté en date du 24 octobre 1970 la résolution 2625 (XXV) relative aux principes du droit international touchant aux relations amicales et a la coopération entre les Etats. Sur ce point, les Nations-Unies ont réitéré leur condamnation de la sécession en précisant que « (…) une action quelle qu’elle soit, qui démembrerait ou menacerait, totalement ou partiellement l’intégrité nationale ou l’unité politique de tout Etat souverain et indépendant », est
contraire aux buts et principes des Nations-Unies. De ce fait, l’énoncé de cette stipulation donne droit à tout peuple, lorsqu’il est victime d’un oppresseur ou d’une agression de quelque nature que ce soit, de se défendre ».
« Il est notamment défini dans l’article premier du Pacte sur les droits civils et politiques du 16 décembre 1966 ce qui suit : « tous les peuples ont le droit de disposer d’eux-mêmes. En vertu de ce droit, ils déterminent librement leur statut politique et assurent librement leur développement économique, social et culturel. »
« Il sied de vous rappeler ici que l’agression de la République Démocratieque du Congo par des puissances étrangères persiste toujours. De même qu’il est regrettable de constater que la MONUC, aujourd’hui MONUSCO, après 10 ans de mandat, n’a pas encore réussi à rétablir la paix en RDC, de protéger les populations civiles massacrées sous ses yeux ».
« Par ailleurs, NOUSFEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA nous nous interrogeons toujours sur la signification à donner aux pas de danse du General Obasandjo, l’envoyé spécial des Nations Unies dans les pays des grands lacs et le mercenaire et criminel tueur-tutsi-rwandais Nkundabatware. »
IV.-DU DROIT DE LA RESISTANCE CONGOLAISE A LA LEGITIME DEFENSE
« Devant cette inertie et le manque de volonté politique du gouvernement congolais de venir à bout de l’agression et de mettre fin à l’occupation ainsi que devant l’amnésie de l’ensemble de la communauté internationale de ne pas appliquer, pour le cas de la République Démocratique du Congo, contre ses agresseurs, les mesures coercitives prévues par les articles 41, 42 et suivant de la Charte en ce qu’il donne mandat aux Nations Unies, de recourir à l’usage de la force pour mettre fin à une agression qui menace la paix et la sécurité internationale, vous vous trouvez fondés en droit d’user de votre droit légitime à la légitime défense »
« Ce droit légitime à la légitime défense vous donne l’autorisation légale de lutter militairement afin de faire cesser l’agression. Ainsi, l’article 51 de la Charte des Nations Unies, vous en donnent complètement et le droit et tous les moyens appropriés pour chasser les envahisseurs du territoire de la R.D.C »
« Il faut que nous vous rappelions également ici que les agresseurs, composés essentiellement des troupes des armées régulières rwandaises, ougandaises et burundaises devront être considérés désormais comme des forces négatives. Comme le sont : FDLR, LRA, interhamwe, et consort »
« Ces agressions caractérisées et systématiques menées contre le Congo ont eu d’innombrables conséquences : crimes de guerre, crimes contre l’humanité, crimes de génocide, massacres des populations civiles congolaises et mouvements forces de celle-ci, 8.000.000 de morts, femmes sauvagement assassinées, pillages des ressources minières, destruction de l’écosystème, aggravation de la situation épidémiologique (plusieurs cas de contamination par le HIV/SIDA, instabilité politique, violations massives des droits de l’homme et du droit international humanitaire. »
« Pour mettre fin à cette humiliation, NOUSFEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA vous invitons de faire recours à l’article 51 de la Charte qui dispose : « Aucune disposition de la présente Charte ne porte atteinte au droit naturel de légitime défense, individuel ou collective… ». C’est pourquoi, la résistance étant naturellement légitime, a le droit de recourir à la force armée pour chasser les occupants afin que la R.D.C. puisse recouvrer sa souveraineté, l’intégrité de l’ensemble de son territoire, son indépendance politique et de mettre fin à l’humiliation ».
Nous vous invitons également de recourir à la jurisprudence de la Cour Internationale de Justice qui vous en donne l’opportunité d’entreprendre tous les moyens appropriés pour défendre la RDC.
« Saviez-vous que des actions en justice avaient été menées par le gouvernement de Laurent-Désiré Kabila contre le Rwanda et l’Ouganda devant la Cour Internationale de Justice et que l’Ouganda avait été condamné à indemniser notre pays et que le Rwanda avait échappé à cette condamnation du fait qu’il ne reconnaissait pas la compétence de cette Cour? »
En effet, la Cour Internationale de Justice de la Haye, dans son arrêt du 26 juin 1986 concernant« Activités militaires et paramilitaires au Nicaragua », la Cour précise que : « …l’envoi par un Etat ou en son nom des bandes et des groupes armées (…) contre un autre Etat d’une gravite telle qu’il équivaut une véritable agression accompli par des forces régulières ».
Comme il est connu par toute la communauté internationale, la R.D.C. est l’objet constant et répété d’agression des bandes armées envoyées par les gouvernements réguliers du Rwanda, de l’Ouganda, du Burundi ainsi que d’autres venant d’autres pays limitrophes.
« La R.D.C. n’a pas d’armée pour défendre son territoire national puisque celle-ci a été démantelé et celle que l’on a bricolé fait allégeance à des puissances tierces. »
« Toutes les opérations de mixage, brassage, et autres conciliabules n’étaient en effet que des perfidies pour faire rentrer l’armée rwandaise et autres à occuper le Congo, à faire main basse sur ses richesses et in fine, concrétiser la balkanisation du Congo. D’autre part, les populations congolaises subissent tous les jours des massacres, assassinats exactions et des humiliations de toute sorte, sans une assistance de nulle part. »
Compte tenu de ce qui précède, NOUSFEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA nous nous sentons fondées dans notre conviction de la nécessité d’agir pour recouvrer l’intégrité territoire et la souveraineté de la RDC.
Dans le même contexte, nous voulons partager avec vous son interrogation sur l’attitude du Conseil de Sécurité qui lève l’embargo sur les armes sur le Rwanda, pays agresseur, et le maintiennent pour le Congo, pays agressé.
En effet dans sa résolution 1823 qu’il avait adoptée à ce sujet le 10 juillet 2008, le Conseil de Sécurité, « se félicitant de l’entrée en vigueur du Pacte sur le sécurité, la stabilité et le développement dans la région des Grands Lacs… 1. Décide de mettre fin aux interdictions imposées aux paragraphes 9 et 10 de la résolution 1011(1995)(1), 2. Décide également de dissoudre le comité du conseil de sécurité crée par la résolution 918 (1995) concernant le Rwanda.(2) _____________________________________________________________
(1)Le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 918 (1994) du 17 mai 1994 concernant le Rwanda était chargé de superviser l'application de l'embargo sur les armes et d'entreprendre les tâches énoncées par le Conseil au paragraphe 14 de cette résolution. L'embargo complet sur les armes imposé à l'encontre du Rwanda par la résolution 918(1994) résolution a pris fin le 1er septembre 1996, conformément au paragraphe 8 de la résolution 1011 (1995). Ce Comité a été dissous par la résolution 1823 (2008) du 10 juillet 2008.
(2) le paragraphe 9 de la résolution 1011 citée plus haut interdit toute vente d’armes au Rwanda et le paragraphe 10 interdit au Rwanda de revente d’armes qui lui sont livrées.Il a ensuite institué un comité de sanctions pour surveiller la RDC.
A cette fin en 2004 (résolution 1533). Quant à la résolution 1807 du 31 mars 2008 qui devait lever cet embargo contre la RDC, celle-ci s’était contentée d’évoquer d’autres questions qui n’ont aucun rapport avec le sujet. D’ailleurs à l’heure qu’il est cet embargo a été prolongé jusqu’en fin novembre 2010
De même, le droit des Congolais à la légitime défense est également reconnu expressément par la Constitution notamment par l’article 64qui est ainsi libelle : « Tout Congolais a le droit et le devoir sacré de défendre le pays et son intégrité territoriale face à une menace ou à une agression extérieure. Un service militaire obligatoire peut être instauré dans les conditions fixées par la loi. Toute autorité nationale, provinciale, locale et coutumière a le devoir de sauvegarder l’unité de la République et l’intégrité de son territoire, sous peine de haute trahison ».
En conclusion, La République Démocratique du Congo est sous occupation, c’est-à-dire, dans une situation dans laquelle elle est placée sous domination politique et militaire étrangère.
« Pour toutes ces raisons, NOUSFEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA nous vous encourageons de prendre la ferme résolution d’user des moyens possibles en votre possession pour mettre fin à l’occupation en République Démocratique du Congo.
« Comme le General De Gaulle fit pour la France, libérez Kinshasa !! et libérez toute la République. Il y va de votre honneur. »
Vive la République Démocratique du Congo libéré
Vive le Peuple Congolais, enfin Libre !!!
Et que vive Le Congo Libre (LCL) »
Fait à Londres, le 10 octobre 2012
Marie-Christine BALANGA »
ANNEXE I.
I.LISTE DES DEPUTES
KATANGA
BUKAMA
KITUA IDA
KABILA WAMPULU PROSPERE
KABONGO NGOY
MOTA BONGO
MUTONKOLE PAUL
DILOLO
LUPULA MATIALU FELIX
LUTONGO LUYEYE
KABALO
KABWE ISIDORE
KABONGO MUANZA
MBAYO LUFUNGA
MBUYU KABANGO CELESTIN
MWENZE NGUYU
KALEMIE
LUKENGE THERESE
KABILA JEANNETTE
LUHONGE FLOR
NGOY MULUNDA
RAMAZANI MASUDI
KAMBOVE
MUJINGA KAYEMB
KAMINA
MBAYO EUGENIE
BANZA
KASONGO MUANDIAVITA
KANIAMA
ILUNGA MARCEL
TSHIBANGU YAMBA FELICIEN
KASENGA
KAZEMBE JC
MUAMBA LEMBA DIEUDONNE
KIPUSHI
MUKASA
KOLONJI
ILUNGA MICHEL
KAKUATA NGUZA PATRICK
MUZANGISA LAURENT
LIKASI
ILUNGA SIMPLICE
KOLELA JEAN
LUBUDI
KABUIKA MASTAKI
MUSODI DIEUDONNE
LUBUMBASHI VILLE
MASUKA SAILI
BANZA MUKALAY SUNGU
BOKONDA FAUSTIN
KITUMBWA JUVENAL
KYUNGU WA KUMUANZA
LUNDA NDALUMBA
MULONGO NZEMBA JACQUES
MUTONDA MUTOMB
MUTOND KANT
MWANDO NSIMBA CHRISTIAN
MWEWU CHARLES
TOLE TSHIKUND LOUIS
MALEMBA NKULU
KILUMBA LONGO JUSTIN
MULUNDA NUMBI
MWAMBA MAMUS
MANONO
KASONGO GERVINE
KABILA ZOE
NKULU JACQUES
MITWABA
MPANDE
MOBA
KAWONDE JHON
MAKWENGE KAPUT
MWANDO NSIMBA CHARLES
SUZE
MUTSHATSHA
KATSHONGO PAULIN
PWETO
ILUNGA JEAN-PIERRE
KASONGO
KATUMBA MWANKE
SAKANIA
X
MUMBA GAMA
SANDOA
KAYINDA
EQUATEUR
BASANKUSU
AKWANZA NICOLAS
BOKOLOMBE SAM
BEFALE
ISEKE MANGA RENE
BIKORO
BOLILI CELESTIN
SAMBU ELIMA BAVON
BOENDE
BAKONGA WILLY
PETSHI TOUSSAINT
BOKUNGU
LOMANGA JEAN-ROBERT
LOMBOTO LOKELI
BOLOMBA
SONGOLA LUTU
MAYOMBE PATRICK
BONGANDANGA
BOFAYA SEBASTIEN
DOME JACQUES
IFEFO ALBERT
BOSOBOLO
BIAKORO THEOPHILE
BOSHOBALE OSCAR
BUDJALA
MOBUTU
BUSA JL
EYOLO NORBERT
KOBILI GERARD
BUMBA
BASIALA MARIE-THERESE
MABUNDA JEANINE
AMBEMA MAURICE
EGWAKE OMER
MANDWENGU
MOLEKA JEAN DE DIEU
BUSINGA
MASIKINI LILI
NGELEZA VINCENT DE PAUL
SEDEYA ARTHUR
DJOLU
BONGU NKOY
LOTALA ALBERT
GBADOLITE
MOBUTU GIALA
GEMENA
BEMBA CAROLINE
LENGA WA LENGA
MAKILA SUMANDA
SENGWA JACQUES
TOYELA GAYELA JOACHIM
ZABUSU ZEPHYRIN
INGENDE
ENDUNDU EVELA DIVIN
NKIYO JOSE
KUNGU MUNO
BEMBA FRANCOISE
GAPE MUNOKO
BALUKA BOPONGO
MOPOND JONH
LIBENGE
DANGWELE IVON
KOLOMBA DENGE
LISALA
AHODOBA FREDDY
EDUMBADUMBA CESAR
LEMBI JOSEPH
MONDOLE LEON
LUKOLELA
LUHUYA JULES
MAKANZA
MAKONGA
MATA NKUMU
MBANDAKA
BAENDE JEAN-CLAUDE
ISOFALE BONIOKO
LOKONDO YOKA HENRI THOMAS
MOBAYI MBONGO
BIANDO BERNARD
MONKOTO
KOMBO TONGA GEORGES
YAKOMA
GERENGBO MARIE-THERESE
BARAMOTO BOBO
ZONGO
BOKOLO VICKY
MANIEMA
KABAMBARE
MUZUNDA PIERRE
KAMAZANI
KAYILO
LUFIMBO
KASONGO
KALUNGA JUSTIN
MANANGA DIDI
MOLISHO DIDIER
SUNDI ZIMAMOTO ALAIN
KIBOMBO
KAPAYA DELPHIN
KINDU
KITEMBWA DIEUDONNE
ASUMANI
LUBUTU
OLEKO STANISLAS
PANGI
KOKODIAGE
MATENDA KYELU
BAS-CONGO
BOMA
BADU JACQUES
BAMBI ANDRIEN
KASANGULU
VUEMBA JEAN-CLAUDE
KIMVULA
KINKOTO TONY HONORE
LUKULA
MBATSHI BATSHIA
NZAU CLEMENT
LUOZI
MAKUALA GEROME
MADIMBA
KOMBO TIMOTHE
MAKUBA RICHARD
MATUSILA PIERRE ANATOLE
MATADI
LUTELO HILAIRE OSCAR
NZAU JOSE
PUELA ALBERT FABRICE
MBANZA-NGUNGU
KIAKWAMA GILBERT
LUNGUANA JACQUES
BUTU BALELE
YUPULU DIMUENE MARTIN
MOANDA
BUELA YIMBI
MULATO PUATI JEAN-MARIE
SEKE-BANZA
MASUMBU ANDRE
SONGOLOLO
MANTEZOLO PAPI
TSHIELA
LUBAMBA CESAR
MBUINGA ROBERT
NORD-KIVU
BENI
BALUKUISHA ALBERT
BALIKUSHA DJOUMA
KAMATE LUKUNDU JEROME
KAMBALE LUFUNGULA ROBERT
KAMBALE MUSEMO DANIEL
KASEREKA MUANZA TIMOTHEE
MALEO LENZO
PALUKU KISAKA
BENI VILLE
KIRO GREGOIRE
MUAKA ARSENE
BUTEMBO
KAKULE SHAYETEYA HUBERT
BINDULE BITEMO
MBUSA NYAMUISI ANTIPAS
PALUKU MALISAWA MARIE-JULES
GOMA
KAMBALE DIEUDONNE
KONDE VITAL KIKANDA
MBUYA NDOLE NASSER
LUMEMO MAHEWE JASSON
MAYINDU NZANGI
MOTIRI ELIAS
LUBERO
BAMBU JULIENNE
KABASHURAKI KAVUSA
KAMBALE KARALIVA OMER
GUILLAUME GOLA EDMOND
USEJE KABALE BONANE
PALUKU JULIEN
TSHIPASA VENANT
FAWITI MAGESHIYA JEAN-C.
NIRAGONGO
BUTSHITSHI JEANNE
MIGANDA DIEUDONNE
WALIKALE
MUNEMBWE ELYSEE
MUNUMBI JUVENAL
SUD-KIVU
BUKAVU
BULAMBO KILOSHO
PALAMO ROGER
MUHUNGANI JEAN-PIERRE
MUSHIZI KIZITO
FIZI
AMATOBE ANNE
ANZULUNI BEMBE
DJEZI MULENGWA
IDJWI
BALAMANGE BONIFACE
KABARE
KABARE ELIANNE
MUDERWA BEATRICE
BAMPONIKI JEAN-MARIE
MUNDUMBI JOSEPH
KALEHE
SHITUBI DEOGRACIAS
ENERUNGA ANSELME
KABUYI JEAN-BOSCO
MIRINDI GREGROIRE
MUENGA
SHIRILUERE BASENGYI
KIBALA KONDE
SADIKI ONESIME
WENGA BULAMBO CHARLIE
SHABUNDA
AMURI
MUKULUNGUBENJAMIN
UVIRA
BITAKUIRA JUSTIN
MAHAGIRA ESPOIR
MUHEBALIMBA LUC
MUTULA DIALLO
RUBOTA FRANCOIS
MASUMOUKU
WALUNGU
BASENGEZI NORBERT
DIGAWA SUKA
KOJI SANGARA SIAMONAMI
SIAMUNANI KALAZO
BANDUNDU
BAGATA
BULUKUMU NICOLAS
LUHONA KIBANGA BLAISE
SUKA AIME RODRIC
BANDUNDU VILLE
NIANGU PATRICK
BOLOBO
FULBERT EMBAKUS
BULUNGU
MAYUMA KASENDE
KAMITATU OLIVIER
LUKIANA FELICIEN
MAYAYA RICHARD
MIKULU GUY
NKUMU
FESHI
SHIMDI ESPERANCE
KANKULUNGA VINCENT
LAPIKA BUMO
GUNGU
MUSANGA MADELEINE
FASHI CELESTIN
GAPAMBAMBA FLORENT
KASHIGE GODE
MAKIASHI WILLY
IDIOFA
FUMUSAMBA JEAN-BAPTISTE
MASELA KILOTI
MBUKU BORIS
MINAKU AUBIN
MUBIKA
MUZAZA THIERRY
NDAMBU RICHARD
INONGO
BOKOLA JEAN-MARIE
BOKOMO FRANCOIS
KAHEMBA
MWASHIMI GEORGES
NAWEJI CHARLES
KASONGO LUNDA
KUTEKALA ALBERT
MBOSO VICKY
TETIKA HUBERT
WEZI EDOUARD
KENGE
MATADI WAMBA
MAYOBO GODEFROID
BEMBA FUNDU THEOPHILE
KIKWIT
LUMEYA DHU MALEGI
MUPINI BENJAMIN
MUZITO ADOLPHE
KUTU
ADOSIO
KILIBA CLAUDE
MASAHA MALIKA JOB
KWAMOUTH
KATALAY JACQUES
MASIMANIMBA
KIPULU ANTOINETTE
KIMBUNDA JEAN
KINKEY TRYPHON
LOBOTO FLORIBERT
MABAYA JEAN-FULBERT
MAKUA DEDE
MUSHI
PEMBE DIDACE
ASHWE
NGOKOSO EGIDE
YUMBI
NGOBILA MBAKA GENTINY
KASAI-ORIENTAL
KABEYA KAMUANGA
TSHIKA WA MULUMBA
KABINDA
LUBAMBA ALAIN
LUMANU MULENDA ADOLPHE
DJIBU KASONGO RAPHAEL
KASAI-OCCIDENTAL
KAMIJ
MBUYIMANA KALALA VASCO
KATAKOKOMBE
LOKOLA ELEMBA MICHEL
LUTUNDULA APALA CHRISTOPHE
KATANDA
KASONGO MONGUNGA
MADIMBA DANIEL
LODJA
ETUNGELO EMILE
LUOYDJI ALLESIS
MENDE OMALANGA
ONUSUMBA ADOLPHE
LUBAO
LOBO KASONGO
LUSANGA NGELE FRANCOIS
LUBEFU
OKUNDJI EMERY
LUILU
MILEMBA BOKASA ANGELIQUE
KATOLO KABONGO ERIC
NGOMBA MULANGUE
TSHIBANGA NTAMBWE DENIS
LUPAPAPATA
MOSENGA BENOIT
LUSAMBA
KASUENDE LOUIS
MIABI
KALONJI MUKENDI ROMAIN
MUENE DITU
KABONGO MUADIAVITA
NGOYI SHABUNDA
NGANDAJIKA
MANANGU KANYEMBE
MWAMBA BENJAMIN
TSHIBUMBA ONESIME
TSHILENGE
NGOYA GISELE
NGALU PIERRE
KASAI-OCCIDENTAL
DEKESE
VETSHI EVARISTE
DIBAYA
KABUYA MARTIN
KANKU BUKASA
DIMBELENGE
MASHIMBA PASCAL
BADIBANGI CHRISTIAN
MUKUNA KALAMBAYI
ILEBO
MBILA MBANGO ANNE-MARIE
MAKUTU ADEBENE
MANGUANZENA LA JEUNESSE
KANANGA
KALAMBA JEAN-PIERRE
KANDE ALEX
KANKONDE CHRYSPIN
LUBAYA CLAUDEL
MUYAYA CONSTATIN
KAZUMBA
MADUYA ASTRIDE
KANKU AMBROISE
MBANGAMA AUGUSTIN
NTENDA NTENDA MARTIN
LUEBO
MUBIKAYI LEON
NGINDU ESPERANT
TSHITOKA PASCAL
LUIZA
TAMAYI IGNACE
MASUASUA CORNEILLE
NGELEJI AUGUSTIN
SESANGA IPUNG DELLY
MWEKA
MBOLO ISABELLE
BOSHAB EVARISTE
GOTO STEPHANE
TSHIKAPA
IKULU IBRAHIM
KALAU GODE
KAZADI THEODORE
KUMUESA ADOLPHE
ABAYA JEAN
MBINGO ALBERT
NDZAJI BENOIT
TSHIMANGA JEAN-PIERRE
TSHIKAPA VILLE
MUYABA NGOV JOHN
MWANGU MAKER
TSHONGO MPUTU BARTHELEMY
PROVINCE-ORIENTALE
AKETI
APALATA
ANGO
PAYISAYO ROBERT
ARU
AUTSAI MEDARD
BAMINO
X ROBERT
ESATI PATRICE
MAMBO LEMBO
BAFWASENDE
BOTONO
NEMOYATO JEAN-PAUL
BANALIA
BIKOLO HENRI
BASOKO
BAZAIBA EVE
MOLEKO ANASTHASIE
KIPELE
KIPELE LUCIE
SENGA VALENTIN
BUTA
BULE MOHAMMED
LUBU
MUSAFIRI ESPERANCE
AKUSI ANGELE
BANDATSHE WILLIS
TSHOMBA JOSEPH
TSHETSHUVI
ISHO GEJA
KIYENIA
TAKISI JEAN-DOMINIQUE
FARADJE
GONDU JEAN-C.
TANZI PATRICK
ADERUDIO WILSON ANDERUMU BAUDOUIN DODAGA PASCAL TIBASIMA TINAZABO JOHN ISANGI ASUMANI JACQUES BOLENGETENGE DIEUDONNE BOTUMBOLA ALBERT KISANGANI APAKA APUYE ALPHONSE BASAGU LEON DARUWEZI JP SIMENE SIMENE MAHAGI BEHORA NANOU TUAMBI EUGIDE OBUNIA JACKSON OKUMU DIUDONNE OPIRA DIEUDONNE OBEKU PIERROT MOMBASA ABDALHA JEFFERSON LUSENGE GREGORINE BUTA BULENGA MOHAMMED KEZAVUMBU JP OPALA AYOHOMO JACQUES ATANAYO TUTU GILBERT RUMU BULUPI SIMON LOLA KISANGA UBUNDU DARUWEZI MARCELLINE USEMANI GASTON WAMBA INAGOSI GENEVIEVE LOMEYA BEATRICE GODEMISO MOMBASA X BUDU VITAL YAHUMA BOPOMBELO PATRICK KINSHASA Funa COLETTE TSHOMBAµ DIOMI EUGENE INGILA BOKOMBO KALOMBO FRANCIS LEBE MUPIRA FLORENT MAKAMBA SIMOLISA JC MOBANDO YOGO YVES MUTUALE JEAN-JACQUES MUYAYA PATRICK NE MUANDA NSEMI OLONGO PONGO BASILE SHIBANDA SENGA GULAIN ANNEXE II. II, LISTE DES SENATEURS 2. Mr ANGANDA, Postnom: Lomalisa, Prénom: Sebastien, liste : Pdc; 3.Mr BALAMAGE, Postnom: mbutsu Luhata, Prénom: Léonard, liste : Ccu; 4.Mr BALIKWISHA, Postnom: Nyonyo, Prénom: Martin, liste : F. du Ren; 5.Mme BAZAIBA, Postnom: Masudi, Prénom: Eve, liste : Mlc; 6.Mr BEMBA, Postnom: Gombo, Prénom: Jean-Pierre, liste : Mlc; 7.Mr BEMBA, Postnom: Saolona, Prénom: Jeannot, liste : Mlc; 9. BIALOSUKA, Postnom: Wata Prénom: Jonathan, liste : Crd; 10. BO-BOLIKO, Postnom: Lokonga, Prénom: André, liste : Pdsc; 11. BONGONGO, Postnom: Ikoli Ndombo, Prénom: Michel, liste : Mlc; 13.DJOLI, Postnom: Eseng’ekeli, Prénom: jacques, liste : Mlc; 14. DJURUNI, Postnom: Obhidhibho, Prénom: Clément, liste : Msr; 15. EKOMBE, Postnom: Mpetsi, Prénom: Toussaint, liste : Pdc; 16. ENGULU, Postnom: Baangampongo, Prénom: Léon, liste : Unadec; 20. Mme GOYA, Postnom: Kienge, Prénom: Bijoux, liste : Ind; Mr. 21.HAMULI, Postnom: Kitsa, Prénom: Ernest, liste : Pprd; Mr. 22. ILUNGA, Postnom: Gutumbuga, Prénom: Damien, liste : Palu; 23. Mr. ISOYONGO, Postnom: Lofete Loyangu, Prénom: Pius, liste : Ind; 24. Mr. IYOLO, Postnom: Landjondo, Prénom: Jean-Baptiste, liste : Pprd; 25. Mr. KABAMBA, Postnom: fataki, Prénom: Amiral, liste : Ind; 26. Mr. KABEYA, Postnom: Sabua, Prénom: Pascal, liste : Rcd; 27. Mr. KAHILU, Postnom: Mbaka, Prénom: Gaston, liste : Pprd; 28.Mr. KAKIENGE, Postnom: Nundwe, Prénom: Willy, liste : Ind; 29.Mr KAKUDJI, Postnom: Gaetan, Prénom: Gaetan, liste : Pprd; 31. KAKWATA, Postnom: NGUZA, prénom: P. Thuerry André, Liste: Ind; 32. Mr KALAMBA WAFUANA EMERY, Ind ; 33. Mr KANIKI ITUOME françois,Ind ; 34. Mr KAPAYA OHELOPENE, LOMBENDJA, DELPHIN, Ind. 35. KENGO,WA DONDO, LEON,Ind ; 36. Mme. KIKONTWE , TUMBWE, MARIE LAIRE, Pprd ; 37. KILOMO, SAKUNGU, JOSEPH, ADECO ; 38. Mr KILUBA, LONGO, JUSTIN, Palu ; 39. Mr. KUYE NDONDO WA MULEMERA, JEAN LUC, Msr ; 40. Mr. KYANGWE, MULEYA, GODEFROID, Codeco ; 41. Mr LABAMA, LOIBUA, BERNAR, Pdc ; 43. Mr LOLA KISANGA, JEAN-PIERRE, Rcd ; 44. Mr LOMBEYA BOSONGO, 45. LIKUNDELIYO, EUGENE, Ind ; 46. Mr LOSEMBE, BATWANYELE, MARIO-PHILIPPE, F. du 47. Mr LU.HONGE, KABINDA NGOY, FLORIBERT, Ind. 48. Mr LUMBALA, TSHITENGE, ROGER, Rcdn ; 49. Mr LUNDA, BULULU, VINCENT DE PAUL, Rsf ; 50. Mr LUNGU KASONGO, 51. MUKONZO, ERNEST, F. du Ren ; 52. Mr LUONO, KIMBANGA, SATURNIN, F. du Ren ; 53. Mr M’PAMBIA MUSANGA BEKAJA, JOSEPH, Pdc ; 54. Mr MABAYA, GIZI-AMINE, JEAN PHILIBERT, Cdc ; 56. Mr MARINI, BODHO, PIERRE, Ind ; 57. Mr MASELA LAKANGALIEMA, PASCAL, Pprd ; 58. Mr MASIKINI, ADONGBA, JOSE, Udemo ; 59.Mr MATANDA, MWIDIKA, SEBASTIEN, Pprd ; 60. Mr MAYAMBA MONGA LIWANDA, HILAIRE, Ind ; 61. Mr MBADU, NSITU, JACQUES, Ind ; 62. Mr MBOMBO ENGONDO SAMUEL, Mlc ; 63. Mr MBUESHI, KUONGO, MUENDU, RCD ; 64. Mr MBU’KU, NUNI, SYLVAIN, Ind ; 65.Mr MOKELO MUMBA, KEBEKE, CELESTIN, Pprd ; 66. Mr MOKENI, ATANINGAMU, JEAN-CLAUDE, Pprd ; 67. Mr MOKOLO, WA MPOMBO, EDOUARD, Ind ; 68. Mr MOKONDA, BONZA, FLORENTIN, Cdc ; 69. Mr MONDOLE, ESSO LIBANZA, LEON, Rcd ; 71. Mr MULALA THENGABANDZUH, THEKKIS, Pprd ; 72. Mr MUSEMA, MAMBAKILA, HIPPOLYTE, Mlc ; 73. Mr MUSENDU, FLUNGU, FLORE, Ind ; 74. Mr MUTAMBA, DIBWE, DAVID,Cdd ; 75.Mr MUTINGA, MUTUISHAYI, MODESTE, Ind ; 76. Mr MUYAMBA, NGOVE, JOHN, Pprd ; 77. Mr MWAMBA, MUSHIKONKE, MWAMUS, Fsir ; 78. Mr MWANGACHUCHU, Htzl, EDOUARD, Ind ; 79. Mr MWENDA BANTU, MUNONGO GODEFROID, Ind ; 80. Mr NDEBO A KANDA, IGNACE, Pprd ; 81. Mr NDOLELA, SIKI KONDE, LEOPOLD, Mlc ; 82. Mr NENGBANGBA, TSHINGBANGA, JEAN, F. du Ren ; 84. Mr NGELEKA, KANGUVU, BENOIT, Pprd ; 85. Mr NGINAYEVUVU, LUBAMBA, GASTON, F. du Ren ; 86. Mr NGONGO, LUWOWO, AUBIN, Ind ; 87. Mr NIMY, TEMBO, ROMAIN, Mlc ; 88. Mr NKOLE TSHIMUANGA, GASTON, Mlc ; 89. Mr NKONGO, BUDINA, NZAU,Ind ; Mme NKOY, 90. MAFUTA, BERNADETTE, Mlc ; 92. Mr NKU IMBIE ,DAVID, Pprd ; 93. Mr NTAMBO, NKULUNTANDA, PIERRE, Pprd ; 94.NYARUGABO, MUHIZI, MOISE, Rcd ; 96. Mr NZOFU, SHANANZIL, DITEND ALBERT, F. du Ren ; 97. Mr OMBA PENE, DJUNGA, RAYMOND, Ivulu ; 98. Mr OTSHUMAMPITA, ALOKI, ADALBERT, Rcd ; 99. Mr PENDJE, DEMODETDO YAKO, RICHARD,Radesco ; 100. Mr RAMAZANI BAYA, RAYMOND, Ivilu ; 101. Mr SENGA, VALENTIN, Pprd ; 102. Mr SESANGA DJA KASIW, PATRICE-AIME, Pds ; 103. Mr SHE OKITUNDU, LUNDULA, LEONARD, Pprd ; 105. Mr SILUVANGI, LUMBA, RAPHAEL, Mlc ; 106. Mr SULUBIKA, ISSA MAFUTALA, MAKANGA, Ind ; 107. Mr TIBASIMA, MBOGEMU ATEENYI, JOHN, Msr ; 108. Mr TSHIMBOMBO MUKUNA, JACQUES, Ind ; 109. Mr TSHIPASA, VANGI SIVAVI, VENANT, Dcfcofedec ; 110. Mr YAMUNGU KISIMBA THEODORE, Unadef ; 111. Mr YERODIA NDOMBASI, ABDOULAYE, Pprd.
1.Mr ADAMBU, Postnom: Azapane mango, Prénom: François, liste : Cdc;
8. BETYNA, Postnom: Ngilase, Prénom: Gbeledolo, liste : Pdc;
12. CHIRIBAGULA, Postnom: Bululi Bugoye, Prénom: Michel, liste : Ind ;
17. ENGUNDA, Postnom: Litumba, Prénom: denis, liste : Pdc; 18.EZATY, Postnom: Mereko-Edzia, Prénom: Patrice, liste : Pprd; 19.FUTA, Postnom: Mudiumbula, Prénom: André Philippe, liste :
30. KAKWATA, Postnom: NGUZA, prénom: P. Thuerry André, Liste: Ind; Nom :
42. Mr. LOKONDO, YOKA, HENRI THOMAS, Ucl;
55. MABI MULUMBA, EVARISTE, Pprd ;
70. Mr MONGULU, T’APANGANE, POLYCARPE, Mlc ;
83. Mr NENYENGWE , JEAN-PIERRE, Pprd ;
95. Mr NZEGE , ALAZIAMBINA, PIERRE, Pprd ;
104. Mme SHENILA, MWANZA, SANILA, Ind ;
Fait à Kinshasa le 19 février