Réhabilitation des artères à Kinshasa Arrêt brusque des travaux sur l’avenue des Huileries - Afrique Rédaction, actualité africaine, actualité africaine à la minute, actualité africaine de la semaine, actualité africaine du mois, actualité africaine à la une, actu, Afrique Maghreb, Afrique de l'Ouest, Afrique du Nord, Afrique de l'Est, Afrique centrale, Afrique subsaharienne, journal en ligne, information sur l'Afrique, actualité de la RDC, actualité de Kinshasa, actualité du congo, actualité musicale, actualité politique, la francophonie, Sports, Insolites, Musique, Culture, Afrique, Monde, France, Moyen Orient, Justice, Littérature, USA, Asie, Europe, Continent RSS, Faits Divers, Politique, Economie, Sociale, Société, Femmes, Santé, Diaspora, religions, Emplois

     Créé le 07-07-2010 à 02h05 | AFRIQUE REDACTION | ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mercredi 07 -07-2010 à 02h14 : Par  Le Potentiel

Depuis quelque temps, les travaux de réhabilitation du tronçon situé entre l’avenue Kabinda et le Centre pour handicapés physiques sont arrêtés. S’agit-il d’une trêve ou d’un arrêt définitif, s’interroge-t-on.

En prévision des festivités du 50ème anniversaire de l’indépendance de la RDC, plusieurs travaux de réhabilitation des infrastructures routières ont été lancés à travers la ville de Kinshasa. Objectif : rendre praticables les voies de la capitale devenues vétustes.

Avec l’enthousiasme du début, on a assisté à un certain engouement sur les différents sites. Puis, un ralentissement suivi brusquement d’un arrêt des travaux. C’est le cas des ceux exécutés sur l’avenue des Huileries par l’entreprise Safrimex. Pour preuve, les engins et les ouvriers qu’on voyait, il y a peu, sur le chantier situé entre l’avenue Kabinda et le Centre pour handicapés physiques ne sont plus visibles pour le moment.

La question que l’on se pose est celle de savoir si le redémarrage des travaux serait renvoyé au centenaire prochain. Pourquoi cet arrêt brusque au moment où les travaux tendaient vers la fin. S’agit-il d’un arrêt momentané ou définitif, s’interrogent plus d’une personne. Une autre préoccupation et non des moindres, c’est la qualité même du travail abattu qui laisse à désirer. A voir ce qui est fait jusqu’à présent sur ce tronçon, on est tenté de dire qu’il s’agit du «copier coller», un travail d’amateur de première classe.

Interrogés à ce sujet, certains usagers de cette route n’ont pas caché leur indignation. Ils ne veulent pas entendre parler de l’arrêt définitif des travaux. Leur souci est de voir ces ouvrages connaître leur aboutissement.

Le même constat est fait également sur l’avenue du 24 Novembre, dans la commune de la Gombe. Sur ce tronçon, les travaux de réhabilitation restent aussi inachevés.

Pour la matérialisation du rêve d’un Congo plus beau qu’avant, il est impératif que tout soit mis en œuvre pour honorer tous les cahiers des charges. Et cela, pour le resplendissement de Kinshasa, la capitale.

T.M.